Le fessier d'une candidate de Koh-Lanta a fait réagir la toile. Depuis, la production s'est exprimée sur cette émission jugée trop "sexy".
Après les nombreuses critiques sur le bikini d’une candidate de Koh-Lanta , les internautes jugent l’émission trop sexy. La production a donc réagi ! MCE TV vous dit tout !
Voilà plus d’un mois que Koh-Lanta a débuté sur TF1. Et cette année, l’île des héros est partagée entre des aventuriers emblématiques des saisons précédentes et des nouveaux candidats. Parmi eux, une brune a retenu l’attention des internautes.
Non pas pour ses talents sportifs. Mais plutôt pour son physique ! Et oui, vous l’aurez bien deviné. Il s’agit bien d’Inès, la jeune infirmière. Son maillot de bain très échancré a donc fait polémique. Et pour cause ! Il dévoile totalement les fesses de la jeune femme.
Très agacée par l’ampleur de cette polémique Inès avait poussé un coup de gueule sur son réseau Instagram : « Y a des choses tellement plus graves qu’un fessier… J’espère que vous allez vous en remettre. » Depuis, Koh-Lanta est épié. Notamment par le Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes (HCE).
Koh-Lanta, sous observation
La raison ? La production est accusée d’avoir profiter de l’erreur d’Inès pour faire des gros plans sur son fessier. Le HCE estime alors que l’émission est sexiste. C’en est trop pour Alexia Laroche-Joubert, la productrice de Koh-Lanta ! Elle s’est donc expliquée sur cette affaire. Et elle nie toute suspicion de sexisme.
Elle conteste alors les techniques de prises dites « abusives ». Mais aussi les montages stratégiques. Selon Alexia, « Certains plans auraient pu être plus suggestifs et on les a coupés ». La productrice continue alors de défendre son émission. Mais aussi ses équipes : « Je rappelle que ce sont les candidats qui choisissent la matière et la forme de leurs vêtements ».
Alexia Laroche-Joubert poursuit son discours en défendant le libre arbitre de chacun. Elle compare aussi la tenue d’Inès à celle de Taïg Khris , un ancien candidat de Koh-Lanta en 2010. « Elle est majeure, c’est à elle de décider comment elle souhaite apparaître. Qui on est pour en juger ? Qui on est pour dire “rhabille-toi” ? Quand un candidat arrive avec un moule-bite, on ne lui demande pas de mettre un caleçon large. »
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