Gabriel de Koh-Lanta a expliqué au site L’Avenir, qu’il regrettait l’abandon de Charlie
Seulement un épisode de la nouvelle saison de Koh-Lanta a été diffusé et ce dernier a déjà fait beaucoup de bruit. En effet, dans l’épisode de vendredi, une candidate, Charlie, a dû abandonner à cause de fortes migraines. Certains candidats et téléspectateurs ont critiqué son choix mais celle-ci a souhaité mettre les points sur les i quant aux accords passés avec la production au sujet de son état de santé. Gabriel, membre de l’équipe rivale, a accordé un entretien au site L’Avenir et a expliqué qu’il regrettait l’abandon de Charlie.
Koh-Lanta : Gabriel aurait aimé que Charlie reste plus longtemps
Ils sont nombreux à avoir un avis négatif sur l’abandon de Charlie. Il est vrai qu’abandonner si tôt dans Koh-Lanta peut souvent choquer. Gabriel a expliqué au site L’Avenir qu’il regrettait le choix de la jeune femme :
« Personnellement, j’ai trouvé dommage, surtout à ce niveau-ci de l’aventure. Pour son équipe, je pense qu’elle aurait pu faire l’épreuve et, en cas de défaite, demander à ses coéquipiers de l’éliminer. Cela aurait permis aux jaunes de ne pas devoir sortir quelqu’un qu’ils avaient envie de voir continuer l’aventure. Je peux le dire : j’ai sous-estimé[l’aventure]. […] Mais je ne peux que confirmer : on ne peut pas se rendre compte de ce que c’est sans l’avoir vécu. Ce qu’on voit à la télé, nous, on le vit puissance 1000. »
Koh-Lanta : l’abandon de Charlie
Charlie a souhaité expliquer pourquoi elle avait abandonné Koh-Lanta et en donner les véritables raisons. C’est au site Téléstar qu’elle a souhaité se confier :
« Je suis migraineuse chronique depuis que je suis gosse (…) Dès que je suis arrivée à Paris, mon traitement en cas de crise sous ordonnance, validé par les médecins qui m’ont auscultée, a été réquisitionné. On me l’a enlevé avec le portable et mes affaires personnelles comme le veut la règle. Or, on a affaire à des accompagnants qui ne sont pas habilités à me donner mes médicaments, même validés par les médecins. Il y a eu une absence de communication entre les médecins de l’INSEP et les accompagnants. C’est la clé. Dans mon cas, la seule condition exigée à ma participation, c’est que j’ai tout le temps mon traitement en cas de crise. Cette condition n’a pas été respectée. »
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