À cause de sa participation à Koh-Lanta 2017, une ancienne candidate subit un énorme coup de frein dans sa carrière.
Depuis sa participation à Koh-Lanta, la jolie Mathilde de 24 ans peine à travailler dans l’enseignement. Son aventure lui fait défaut ! MCE vous dévoile tout dans les moindres détails.
Incroyable mais vrai ! Si participer à Koh-Lanta peut ouvrir des portes, cela peut aussi être un handicap.
En effet, ce jeu de survie n’est pas aussi gratifiant que l’on pourrait croire. C’est en tout cas la difficulté que rencontre Mathilde, une ancienne candidate.
En 2017, la jeune femme de 24 ans participe à l’édition au Cambodge. Toutefois, elle ne ressort pas vainqueur mais Frédéric.
Trois ans après l’émission, Mathilde, professeure des écoles, s’en mord les doigts. Et pour cause, sa participation à Koh-Lanta : Cambodge lui porte préjudice.
Ainsi, la jolie brune le raconte à ses abonnés sur son compte Instagram. Dans une session question – réponse, la chérie de Romain fait une révélation surprenante !
Koh-Lanta la prive de son métier
Après sa participation à Koh-Lanta, Mathilde pensait s’ouvrir des portes. Finalement, c’est tout le contraire.
« J’hésitais à en parler, mais je décide désormais de le faire librement », commence la jeune femme, prête à prendre la parole.
Donc, la sportive ne perd pas de temps. Pour rentrer dans le vif du sujet, celle-ci explique le refus de sa mutation à Nice. La raison ? Son aventure Koh-Lanta !
Très en colère, la jolie brune de 24 ans pousse les confidences. « J’ai halluciné d’être confrontée à des personnes si fermées d’esprit. »
Ainsi, l’ancienne candidate ne comprend pas ce refus. D’après elle, son « parcours est atypique ». Mais en plus, celle-ci juge « son passé » comme « QUE du plus ! »
« J’ai un plus grand sens de la rigueur, de l’effort, je suis incluse dans des classes à projets, j’ai des idées différentes, de l’énergie à revendre et un lien spécial avec les élèves« , pense-t-elle.
Mais finalement, l’aventurière pense que « la vie est bien faite ». En effet, la jeune femme travaille dans l’enseignement à Nice grâce à « une opportunité folle ». Tout est bien qui finit bien !
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