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Koh-Lanta: l’avocat du présumé violeur pointe du doigt la production et la tacle !

Koh-Lanta: l’avocat du présumé violeur pointe du doigt et la production et la tacle !

Au micro d’Europe 1, l’avocat du présumé violeur de Koh-Lanta a une nouvelle fois pris la parole. Il a pointé du doigt la production

Depuis plusieurs jours, tout le monde parle de l’affaire de viol dans Koh-Lanta. Durant le tournage de la prochaine saison, un aventurier aurait tenté de violer une candidate. Bien entendu, il s’agit encore de présomptions car la justice n’a pas encore rendu son verdict. Toutefois, les avocats des deux partis s’expriment chaque jour. Récemment, c’est l’avocat du présumé violeur qui s’est exprimé au micro d’Europe 1. Bien évidemment, ce dernier a défendu son client et a pointé du doigt la production de Koh-Lanta.

Koh-Lanta : l’avocat du présumé violeur, tacle la production

En défendant son client, Jérémie Assous n’a pas manqué de tacler la production de Koh-Lanta. Selon lui, celle-ci n’a pas su gérer la communication de l’affaire et a expliqué pourquoi : « J’en veux beaucoup à la production. C’est la production le principal responsable. Ça se passe le 4 ou 5 mai, ils mettent une semaine pour annoncer publiquement qu’ils arrêtent la production alors qu’ils avaient arrêté le tournage immédiatement »

Avant d’ajouter : « Pourquoi n’ont-ils pas immédiatement dit qu’il y avait 5 personnes ? Si vous laissez juste ‘agression sexuelle’ et que vous dites ‘on a arrêté le tournage’, immédiatement on pense à la qualification la plus grave d’agression sexuelle. A savoir viol ou tentative de viol. On est très très loin. »

Koh-Lanta : son client, innocent ?

Dans la suite de l’entretien, l’avocat a relaté des faits, défendant son client. Selon lui, le candidat de Koh-Lanta était en compagnie de 5 autres personnes lorsque la tentative de viol aurait eu lieu. Les 5 personnes n’auraient jamais confirmé la version de la plaignante :

« Sa version des faits est parfaitement conforme avec celle des cinq autres personnes qui étaient dans la hutte avec la plaignante Candide Renard. Aucun de ces cinq témoins ne confirme la version de la plaignante ».

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