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Koh-Lanta: agoraphobie, perte de poids, Sandro raconte son enfer à son retour en Belgique !

Koh-Lanta: agoraphobie, perte de poids, Sandro raconte son enfer à son retour en Belgique !

Dans une interview pour Télé-Loisirs, Sandro a indiqué que son retour en Belgique après Koh-Lanta, avait été compliqué

Vendredi dernier, Sandro a été éliminé de Koh-Lanta. Un coup dur pour le Belge qui avait mis en place de nombreuses stratégies pour tenter de gagner le jeu. Mais il a été pris à son propre piège et ses « alliés les plus fidèles » ont décidé de l’évincer. Interrogé par Télé-Loisirs, il s’est exprimé au sujet de son retour à la téléréalité qui s’est avéré très compliqué.

Koh-Lanta : un retour compliqué pour Sandro

Comme tous candidats, Sandro a beaucoup souffert du manque de ses proches. Il avait la tête rivée dans Koh-Lanta. C’est pourquoi, lorsqu’il a été éliminé et est revenu à la réalité, cela a été compliqué à vivre pour lui comme il l’a indiqué : « Il faut reprendre ses habitudes : réapprendre à manger, à dormir normalement, se laver, prendre une douche avec de l’eau chaude. J’ai eu du mal avec la foule, les endroits où il y avait du monde. »

Sa compagne a beaucoup souffert de son changement de comportement comme il a expliqué : « Elle voyait que j’étais perdu. Dans la vie, j’adore maîtriser la situation. Il en faut beaucoup pour me déstabiliser. » Avant d’évoquer le retour à la réalité : « C’est dur les nuits où il pleut, quand on ne mange pas, le manque des proches… On était préparés mentalement à être privés de tout. Au retour, la vie nous redonne trop vite tout. Récupérer ses repères c’est violent, c’est aussi ultra-paradoxal. Beaucoup d’aventuriers ont eu cette sensation bizarre. »

Koh-Lanta : les souvenirs de Sandro

Mais Sandro garde quand même de bons souvenirs de Koh-Lanta. Malgré le fait qu’il ait souffert à son retour en France, il ne retient quasiment que le positif de l’aventure. Interrogé par Melty, il avait confié :

« Les meilleurs j’en ai deux. C’est le début de l’aventure quand je saute dans l’eau et le moment où j’ai appelé mes proches. Le pire, mise à part mon élimination, c’est le courrier que je n’ai pas pu avoir. Je ne râle pas contre mes camarades, mais contre la vie, contre moi-même. Je savais que mon courrier était là quelque part, mais je n’allais pas le lire. »

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