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Le Youtubeur Mohamed Henni se livre sur son avenir !

Interrogé par nos confrères d'Rmc, le Youtubeur foot et surtout supporter de l'OM : Mohamed Henni, s'est livré sur ses futures ambitions.

Interrogé par nos confrères d’Rmc, le Youtubeur foot et surtout supporter de l’OM : Mohamed Henni, s’est livré sur ses futures ambitions. En quelques mois, Mohamed Henni est devenu un personnage incontournable à Marseille. Mce vous dit tous sur le Youtubeur.

Mohamed Henni: le fan fou de l’OM et de Messi

Pour tout les fan de sport, et notamment de football, il est difficile de passer à coté de Mohammed Henni. En effet, grand supporteur de l’Olympique de Marseille, il est un adepte des réseaux sociaux, Twitter, YouTube et Snapchat. Ce dernier n’hésite pas à dire tout fort ce que tout le monde pense généralement tout bas. Une attitude qui lui vaut d’être relativement suivi.

Récemment interrogé par nos confrère d’RMC, le jeune homme de 29 ans a accepté de se livrer en toute franchise sur son personnage et ses ambitions. Un bac S en poche, celui qui a d’ores et déjà détruit 22 télévisions et qui réuni chaque fois des centaines de milliers de personnes, souhaite aller plus loin encore. Son objectif est que son avis footballistique soit reconnu et qu’il ne soit plus vu comme un « fou qui fait des vidéos ». « Mon but, c’est que mon avis footballistique soit vu et reconnu. Après, comment et sur quelle plateforme ? Je ne sais pas encore. Peut-être via un poste de chroniqueur à la télévision… ».

L’ennemie de Germain et Mitroglu

Toutefois, il faudrait changer de méthode de travail. En effet, si Mohamed Henni souhaite passer à l’étape supérieure, et comme il le dit lui-même, il ne prépare absolument rien. « J’allume la caméra et j’envoie ». Il va également falloir penser à stopper de détruire toutes ses télés. 22 depuis le début pour près de 10,000 euros de dégâts.

Cependant, s’il n’est pas encore dans la cour des grands, comme il le dit lui-même, son avis semble compter. « On m’a reproché de faire couler des joueurs et de leur mettre trop de pression. Mais j’en ai rien à foutre ». Attention toutefois, s’il critique et caricature, c’est toujours avec le même ton. « Je ne fais aucune incitation à la haine. »

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