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Tony Yoka: Il échappe à un chantage de plusieurs milliers d’euros contre la révélation de son adultère !

Le célèbre boxeur, Tony Yoka, a fait l’objet d’un chantage de plusieurs milliers d’euros. Chose encore plus surprenante, c’est son beau-frère qui le fait chanter contre la révélation de son adultère… MCE revient sur l'événement.

En effet, croyez-le ou non, mais le beau-frère de Tony Yoka le faisait chanter. Il aurait fait chanter le boxeur avec plus plusieurs milliers d’euros en jeu.

Mais pourquoi s’en prenait-il à lui ? Tout simplement parce qu’aux dernières nouvelles, Tony Yoka a commit un adultère.

Voilà donc comment son beau-frère et le réceptionniste d’un hôtel parisien ont tenté une négociation musclé.

Suite à la gravité des événements, MCE revient sur cette affaire qui n’arrange pas l’image du boxeur !

Une véritable dégringolade pour Tony Yoka !

Tout d’abord, il faut savoir que Tony Yoka se trouvait déjà dans le pétrin suite à sa suspension par la commission antidopage !

Voilà que le boxeur fait encore la unes des journaux. Mais cette fois-ci, il semblerait que ce soit lui la victime.

Selon le parisien, suite à un adultère survenu dans un hôtel parisien (à Pigalle), le réceptionniste et son beau-frère lui ont proposé leurs silences contre 25 000 euros.

Tony Yoka, la victime de l’histoire ?

D’autre part, cette sombre affaire aurait prit place l’été dernier ! Cela fait donc un petit moment que Tony Yoka garde ce secret intime.

Pourtant, il a porté plainte. Selon Tony Yoka, la jeune femme n’était qu’autre qu’une hôtesse de l’air rencontré en compagnie de son manager Jérôme Abiteboul.

En ce concerne l’avocat du boxeur, il assure savoir exactement comment réagir face à ce genre de situation (qu’il connaît, apparemment bien):

Je porte systématiquement plainte dans ce genre d’affaire qui sont malheureusement courantes dans le domaine du sport et des médias. Dès qu’il y a tentative d’escroquerie ou de chantage, nous portons plainte, les contrevenants ont été identifiés et passent en jugement. Nous nous réservons la possibilité de nous constituer partie civile le cas échéant. (…). Pour moi il n’y a pas d’autres commentaires à faire si ce n’est que Tony est la victime dans cette affaire » déclare Me Arnaud Péricard pour l’AFP.

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