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Trop Vite: Nabilla dévoile son plus gros caprice à 10 000 euros !

Trop Vite: Nabilla dévoile son plus gros caprice à 10 000 euros !

Dans son autobiographie Trop Vite, Nabilla fait des révélations plus étonnantes les unes que les autres et revient également sur son caprice le plus fou

Du jour au lendemain, Nabilla est devenue une véritable star grâce à sa fameuse phrase « Non mais allo quoi ! T’es une fille, t’as pas de shampooing ? » Dans Trop Vite, la jeune femme revient sur sa célébrité soudaine et raconte quel a été son plus gros caprice.

Dans Trop Vite, Nabilla raconte qu’elle voulait s’offrir une montgolfière

Nabilla aime le luxe et ne s’en est jamais cachée. Grâce à sa notoriété, la starlette de 24 ans a gagné beaucoup d’argent et a pu s’offrir de nombreux vêtements haute-couture ou encore séjourner dans des hôtels cinq étoiles. Mais il y a une chose que la jeune femme n’a jamais pu s’offrir… Et il s’agit d’une montgolfière !

Dans Trop Vite, Nabilla explique: « Je me suis réveillée en mourant d’envie d’avoir une montgolfière. Pas d’aller faire un tour en ballon avec des inconnus qui nous auraient matés et filmés comme deux bêtes curieuses, non, une personnelle ». La starlette et son compagnon Thomas Vergara se sont donc empressés d’aller à la recherche d’un exemplaire.

Un caprice d’une valeur de 10 000 euros

Malheureusement, il leur a été impossible d’en acheter une: « Le vendeur nous a vus débarquer avec une grosse enveloppe de cash, 8 000 ou 10 000 euros. J’avais noté les prix, ayant trop hâte de repartir avec. On a parlé pendant plus d’une heure, j’ai failli péter un plomb. Rien à faire. Le vendeur a refusé de nous la vendre », raconte Nabilla dans son autobiographie Trop Vite. Avant d’ajouter: « En France, tu ne peux pas t’offrir une montgolfière, franchement c’est triste ».

Si Nabilla n’a pas pu réaliser son rêve en s’achetant une montgolfière, elle a tout de même eu la chance de faire son baptême de l’air. Cependant, cette expérience est loin de l’avoir satisfaite puisque l’engin n’était pas privatisé. Toutefois, l’auteure de Trop Vite est consciente de son comportement capricieux: « Oui, j’avoue, je faisais des caprices un peu niais. Une maladie courante aux débuts de la notoriété ».

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