Le procès de Nabilla se tenait le hier, jeudi 19 mai, au tribunal de Nanterre (Hauts-de-Seine). Après plus d'un an d'attente, l'heure du jugement est venu pour Nabilla!
Le procès de Nabilla se tenait le hier, jeudi 19 mai, au tribunal de Nanterre (Hauts-de-Seine). L’ex chroniqueuse de Touche pas à mon Poste était jugée pour avoir poignardé son compagnon à deux reprises en 2014.
Nabilla Benattia, toujours fidèle à elle-même
Durant son procès, auquel elle a été condamnée à 6 mois de prison ferme et 18 mois sursis avec mise à l’épreuve (lien condamnation nabilla), Nabilla Benattia, a affiché une attitude nonchalante tout au long de la journée. Un comportement qui n’a d’ailleurs pas plu à Matthieu Delormeau, outré (lien mathieu delormeau) par les snaps de Nabilla au tribunal. Car oui, Nabilla et Thomas n’ont cessé de poster des photos alors qu’ils étaient en plein procès !(lien nabilla poste des photos en plein procès).
Vous le savez, Nabilla est célèbre pour ses phrases cultes, mais aussi ses plaisanteries (parfois même sans le vouloir). Quelques fois avouons-le, elles peuvent nous faire bien rire ! Mais vous vous doutez bien qu’un procès n’a pas freiné la jeune femme de 24 ans. Découvrez ce qu’a bien pu dire Nabilla pendant son audience.
Des déclarations décalées, parfois chocs !
« – Non mais allô quoi. T’es une fille mais t’as pas de shampooing ? » Le juge évoque la phrase qui a rendu célèbre la bimbo.
Nabilla : « Vous voulez que je vous la refasse ? » Fou rire général dans la salle. »
Nabilla est revenue sur la relation avec sa mère.
« Je ne la considère pas comme un parent. »
Le procureur : « Qui faisait bouillir la marmite ? »
Nabilla : Vous voulez dire qui faisait à manger ?
Le procureur : « Euh, non ! »
– Nabilla : « La crise durait depuis quelques heures. J’ai voulu lui faire peur. Et le couteau est rentré dans son corps ! »
– Nabilla : « Mon intention n’était pas de faire du mal, mais de mettre fin à une crise et dire stop »
Le juge : « Quand vous montez dans la chambre de Thomas, vous aviez déjà le couteau ? »
Nabilla : « Bah non, j’avais même pas mes vêtements ! »
Et quand le procureur lui parle de cette fameuse « arme »
Nabilla : « Quoi ? Le pistolet ? »
Le procureur : « Non, le couteau. Le couteau, c’est une arme. »
Crédit photo : D.R
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