Pamela Anderson rend visite à son ex, le fondateur de WikiLeaks, en prison. L'actrice américaine demande à "sauver la vie" de Julian Assange.
Pamela Anderson tente le tout pour le tout pour sortir Julian Assange de derrière les barreaux. Le fondateur de WikiLeaks est actuellement dans la prison de Belmarsh dans le sud-ouest de Londres.
« Nous devons sauver sa vie. » Tels sont les mots déclarés par Pamela Anderson qui continue de soutenir cet homme originaire d’Australie qui a maintenant 47 ans. Lundi, le footballeur Adil Rami publiait une photo de l’actrice américaine en story sur Instagram. Il soutient personnellement Pamela dans son combat.¨ Plusieurs hashtag étaient aussi visibles sur la photo : #FreeAssange #ISupportMyDarling.
Pamela Anderson : dans la tourmente
L’homme d’affaire australien posait ses bagages à Londres en 2012 en tant qu’exilé. Il était poursuivit en Suède pour viol. On lui accorda l’asile politique et l’affaire se classa sans suite. Une frayeur hantait Julian Assange : qu’on l’envoie aux États-Unis et que sa peine se transforme donc en condamnation à mort.
La visite en prison est douloureuse pour Pamela Anderson. Elle avoue : « Cela a été très difficile de voir Julian ici. » Pour elle, l’australien « ne mérite pas » d’être derrière les barreaux. L’actrice précise aussi qu' »il n’a jamais commis de violences, il est innocent. »
La police arrête Julian Assange les premiers jours du mois d’avril. Pamela est en « état de choc. » Elle pointe aussi du doigt Londres qu’elle juge comme « la putain de l’Amérique« , et surtout de faire une sorte de diversion « pour son stupide Brexit. »
Pamela Anderson dit : « Nous devons continuer à nous battre parce que c’est injuste. Il a tant sacrifié pour faire connaître la vérité. » Pour rappel, Julian Assange est poursuivi pour association de malfaiteurs notamment pour avoir voulu réaliser un « piratage informatique. » Il avait aussi aidé Chelsea Manning à récupérer un mot de passe et ainsi pouvoir voler des milliers de dossiers secret-défense.
Julian Assange ne veut donc pas aller aux États-Unis. Kristinn Hranfsson, le rédacteur en chef de WikiLeaks, « Julian Assange est touché mais pas brisé. »
La suite de l’enquête est à suivre…
Crédit photo : Eonline
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