La belle Tara Fares a bel et bien été sauvagement assassinée dans les rues de Bagdad jeudi 27 septembre dernier. MCE t’en dit plus…
Tout d’abord, la jolie Tara Fares adorait s’afficher sur Instagram de manière totalement libre. Pourtant, cela ne plaisait pas à tout le monde. La jeune femme a été tué dans les rues de Bagdad. Si le sujet t’intéresse, alors tu es bien tombé. En réalité, la jeune femme possédait une grande notoriété sur les réseaux sociaux. Eh oui, en devenant Miss Irak 2014, Tara attirait de nombreux curieux, mais aussi des personnes très religieuses, qui n’étaient donc pas d’accord avec elle. MCE t’en dit plus…
Tuée pour avoir envie de liberté ?
En effet, la belle Tara Fares semblait jouir d’une certaine liberté sur les réseaux sociaux. Cependant, en Irak, le conservatisme religieux reste très présent. De plus, nous savons également qu’en Irak, la société demeure également très patriarcale. Mais pour Tara Fares, l’ancienne Miss Irak 2014, Instagram est vite devenue une solution pour pouvoir partager son semblant de liberté ! Avec un mode de vie occidental, des tatouages… elle a tout pour se faire détester dans son propre pays ! Mais à quel prix ? La jeune femme a donc trouvé la mort le jeudi 27 septembre dernier.
Une femme soutenue
D’autre part, si la belle Tara Fares avait de nombreux ennemis en Irak, la jeune femme avait aussi de nombreux fans à travers le monde. En effet, avec son style particulier, ses manteaux de fourrures, des pantalons, du maquillage, des cigarettes, son mode de vie est totalement occidentale. Tout d’abord, Tara a été élue Miss Bagdad, de plus, elle devient Miss Irak en 2014. Aux dernières nouvelles, elle aurait reçue 3 balles. Son copain, présent sur les lieux, l’a donc conduit tout droit vers l’hôpital, mais il était trop tard. De son côté, le gouvernement irakien a donc déclaré avoir ouvert une enquête pour découvrir les auteurs du crime. Voici quelques message de soutien trouvés sur les réseaux sociaux: « Son seul crime, c’était d’avoir choisi la vie, au mauvais endroit », « Ce jeudi, c’était Tara (…) Jeudi prochain, qui est-ce que ce sera? Où va l’Irak ? ».
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