La chanteuse Vaimalama Chaves nous dévoile les coulisses de son nouvel album "Good Vaïbes" et nous partage ses souvenirs de Miss France.
Dans ce nouveau numéro de Job Backstage, la pétillante Vaimalama Chaves revient pour MCE TV sur son parcours, sa folle année de Miss France et sur ses origines polynésiennes. L’ex-reine de beauté évoque aussi son nouvel album « Good Vaïbes » et offre même quelques conseils aux étudiants !
Raconte-nous ton aventure Miss France en 5 points clés
Vaimalama Chaves : L’histoire commence par Tahiti. Le sable, la mer, les poissons, l’océan, le surf, les montagnes, les randonnées, les cascades où on peut aller se baigner. C’est très beau ! Ce sont des valeurs reliées à la nature. Point 2 ! L’arrivée en métropole, ça caille, c’est pas facile, il fait gris, il fait nuit tôt, il fait jour tard. Là je commence à rencontrer des candidates pour Miss France et il y a un feeling de folie. Tout se passe super bien, on s’entend très bien.
Lorsque j’ai gagné ! Je suis devenue Miss France, aujourd’hui je viens à votre rencontre. Ensuite, je ne suis plus Miss France et c’est le confinement… En effet, j’ai le temps mais ça me fait toujours bizarre. Avec Miss France je n’en avais pas du tout. Désormais, j’en ai à profusion, j’en profite à fond les ballons ! Enfin, je suis chanteuse, c’est l’actualité du jour !
Qu’est-ce qui te passionne le plus dans ton métier ?
Vaimalama Chaves : Je suis passionnée par mes racines en Polynésie. Alors, cela aborde l’héritage, les valeurs et la notion de partage. Je vais aussi parler de musique, car c’est une chose à ressentir, à vivre. J’adore chanter, j’aime danser, m’amuser avec les deux en même temps. Je l’admets, ça n’est pas toujours beau à voir, mais ça n’est pas grave. Je suis la seule à le voir !
Comment tes origines polynésiennes influencent-elles ta musique ?
Vaimalama Chaves : Je suis influencée par la féminité idéalisée en Polynésie. En effet, il y aurait chez nous les plus belles femmes du monde. Je ne suis pas d’accord avec ça, certes, on a de beaux canons mais il y en a partout ! Je parle avec un accent polynésien, on l’entend lorsque je chante, quand je parle avec les « R roulés », ou avec un instrument. De plus, je joue du ukulélé, parfois de la guitare et en ce moment, j’apprends le piano.
Des conseils d’orientation vers les métiers de la musique ou de l’influence ?
Vaimalama Chaves : Je ne suis pas un bon exemple. J’ai eu beaucoup, beaucoup de chance. Lors de Miss France, j’ai eu l’occasion de rencontrer des personnes extraordinaires. J’en suis ici aujourd’hui grâce à Miss France. En conclusion, je ne pourrais pas vraiment parler pour détailler le chemin à suivre… Dans tous les projets, il s’agit de persévérance, de travail. Il faut se donner les moyens de ses ambitions.
Quels sont tes projets aujourd’hui ?
Vaimalama Chaves : Je suis devenue chanteuse. Je n’aurais jamais pensé dire ça un jour ! C’est dingue, je suis chanteuse, avec un album ! Cet album nommé «Good Vaïbes» est une belle musique qui a de beaux messages, avec de beaux textes et des musiques qui sont magnifiques. Et une très belle voix posée dessus !
Aurais-tu un message pour les étudiants ?
Vaimalama Chaves : Ah chers étudiants, bon courage ! Je ne sais pas dans quel monde vous arrivez. Ça n’est pas facile, le chemin à construire est le vôtre, il faut connaître vos envies. Donc, pour le savoir, il faut expérimenter et pour cela il faut essayer !
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