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Jeremstar avoue « J’ai construit mon business sur la bêtise »

Jeremstar avoue "J’ai construit mon business sur la bêtise"

Dans une interview accordée au site Figaro TV, Jeremstar s’est exprimé au sujet de son livre, de son métier et a également avoué le montant de son salaire

Ce mercredi 4 mai, Jeremstar a sorti son tout premier livre intitulé « Téléralité, le manuel pour percer dans la téléréalité ». Dans cet ouvrage parodique, le blogueur n’hésite pas à se moquer du milieu qui l’a pourtant fait connaître.

Jeremstar, l’assistant social des candidats de téléréalité

Depuis la création de sa conciergerie, Jeremstar tacle les candidats de téléréalité dans des articles plutôt corrosifs et cette ligne éditoriale lui vaut beaucoup de critiques. Malgré tout, le célèbre blogueur se défend de cracher dans la soupe et explique que son métier consiste, avant tout, à mettre en lumière les candidats à la suite de leur participation à des émissions.

« Mon boulot est un ensemble d’activités qui s’apparentent à une grande agence de comm. Au final j’ai plusieurs casquettes, je vais traiter l’information, créer du contenu divertissant mais également assister les candidats au quotidien. J’écoute leurs peines de cœur, je les aide. Je fais l’attaché de presse, l’agent, je leur trouve des contrats rémunérés, je les place en discothèque. Je les accompagne surtout dans l’après et je fais l’assistant social bien évidemment ».

Il gagne plus de 10 000 euros par mois

Jeremstar a bâti un véritable empire autour de la téléréalité et est actuellement à la tête de deux sites qui cartonnent. Le snapchatteur le plus suivi de France se considère comme un véritable businessman. Il affirme avoir travaillé d’arrache-pied durant plusieurs années et gagne très bien sa vie.

« Oui je gagne beaucoup d’argent mais je ne le vole pas. Je travaille jour et  nuit, j’ai renoncé à toute vie sociale. Ca fait dix ans que je travaille comme un acharné et que j’ai tout mis dans mon boulot. Je gagne ma vie, je travaille, je génère un business. Je n’offre pas du contenu gratuitement, je ne suis pas bénévole, je ne fais du journalisme participatif. Je gagne plus de 10 000 euros par mois mais je ne les vole pas et je les mérite. J’ai fait de mon travail ma passion ».

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