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David Hallyday s’exprime sur l’héritage « Tout ce qui est toxique, je l’élimine »

David Hallyday s'exprime sur l'héritage "Tout ce qui est toxique, je l'élimine"

Voilà plus d’un an que David Hallyday et sa sœur Laura Smet se battent pour l’héritage de leur père. 1 an après cela est toujours d’actualité..

En effet, même lorsque David Hallyday est en pleine promotion de son nouvel album. Les questions sur l’héritage et sur son défunt père Johnny Hallyday ne cesse de revenir. D’ailleurs dans l’émission « On refait la télé » sur RTL, il n’a pas manqué aux questions sur ce sujet.

David Hallyday : En pleine promo

Effectivement, c’est le grand retour de David Hallyday. Il s’est fait remarquer avec son single « Ma dernière lettre » et se trouve en pleine promo pour défendre son nouveau disque. Intitulé « J’ai quelque chose à vous dire » sortie le mois dernier.

Et il est vrai que le fils de Johnny a beaucoup de chose à dire. Invité de RTL ce samedi 19 Janvier il ne s’est pas retenu de répondre. Il affirme avoir déserté la télé depuis la mort de son père notamment les chaines d’infos.

« La vie est trop courte. Vraiment, et franchement, ça ne m’intéresse pas. J’avais besoin de faire certaines choses, et je me suis isolé, c’était impossible pour moi de garder tout cela à l’intérieur. Il fallait que je le sorte absolument. Ça passe par entrer dans mon studio et composer » a-t-il expliqué.

David Hallyday : Il s’est éloigné de tout ça !

En effet David Hallyday a souhaité s’écarter de tout cet engouement médiatique autour de sa famille. Toutefois, malgré le bruit que va faire son album, il détient un avantage. Il habite loin de la France !

« Je n’habite pas en France, il y a le côté un peu lointain déjà. Et puis tu te concentres sur ce que tu as à faire et tu ne cherches pas à savoir… C’est peut-être l’habitude, depuis que je suis petit, j’arrive très bien à cloisonner les choses, à savoir ce qu’il faut ou pas écouter. Tout ce qui est toxique, je l’élimine tout de suite », a-t-il confié.

Pour le moment, lui et sa sœur reste dans l’attente. Car le 29 mars le tribunal de Nanterre va statuer pour dire si le droit américain ou français prévaut à leur cas.

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