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Bob Dylem: le roi de l’infiltration dévoile son talent caché ! (ITW)

Le vrai pro de l'infiltration, Bob Dylem, s’est prêté au jeu de l'interview CV. Il dévoile ainsi son étonnant talent caché pour MCE TV.

Le pro de l’infiltration Bob Dylem dresse son CV. Pour MCE TV, il revient sur son parcours et les expériences marquantes de sa vie.

Date et lieu de naissance ?

Bob Dylem : Je peux juste dire que je suis Capricorne et que je suis un pur produit parisien.

Diplômes ?

Bob Dylem : J’ai un diplôme, j’ai un master 2 en gestion, entreprenariat et finance de la Sorbonne, Panthéon Sorbonne Paris 1, donc, les moldus ne peuvent pas connaître malheureusement. Pour la dernière année de master, mon directeur de master avait organisé un voyage scolaire. Je n’ai pas été convié parce que je faisais un peu de bêtise et j’ai dû me faire passer pour lui, créer une fausse adresse mail, négocier un peu avec Air France pour pouvoir partir à New York et finalement, j’ai réussi à avoir mon petit billet à la fin. Par contre à l’hôtel je dormais par terre sur un matelas et tout, mais j’ai réussi à m’infiltrer en voyage de fin d’étude avec ma promo et c’était les meilleures vacances de ma vie avec mes potes, vraiment.

Les compétences de Bob Dylem ?

Bob Dylem : Alors on va rester humble, d’accord ? Talent d’improvisation, capacité d’adaptation à toute situation, sociabilité avec les gens. Et puis je suis très observateur et j’adore analyser les gens, j’aime beaucoup observer la gestuelle, comment ils parlent, créer une situation et des conversations assez lunaires, rocambolesques, loufoques, que dis-je ? Folkloriques ! J’ai un talent caché, je sais faire le pouce avec mes pieds, êtes-vous prêts les gars, êtes-vous prêt ? C’est parti, donc là, c’est bon, là, c’est moi. OK. Voilà, je trouve ça super stylé ! Et il y a peu de monde qui arrive à le faire.

Expériences marquantes de ta vie ?

Bob Dylem : Dans ma vie pro ouais, alors j’ai commencé à travailler assez jeune, donc vers 15, 16 ans, mon premier job, c’était dès que j’ai mon bac, j’ai postulé pour plusieurs entreprises, plusieurs jobs, etc. Plusieurs restos et je me faisais recaler et tu sais quand tu as 17 ans, tu as envie de travailler, tu as la dalle, tu as envie de faire des sous, tu as envie de partir en vacances. La plupart des restos te disent : « non ». Même les entreprises te disent : « non », ça fait mal au moral et tu dis donc : « Mince, est-ce que c’est moi le problème ? Qu’est-ce qu’il faut que je change ? ». Tu te dévalorises et c’est très dur pour un jeune adolescent, pour un jeune homme de voir plusieurs portes fermées comme ça et de ne pas trouver de travail.

Oui, ça m’a un peu marqué, ça m’a un peu blessé limite, mais maintenant ma plus belle revanche c’est que je travaille à mon compte et que je me prends plus de stops ou de non par des boss pendant l’entretien d’embauche en fait. Mon meilleur travail, c’était à la fête foraine, j’ai un pote à moi qui suis forain et chaque année il me confie son manège. C’est le grand Splash et il y a les petites photos souvenir et moi j’essaye donc de les vendre. Et tu sais qui j’ai rencontré ? Stéphane Curry, le basketteur, ce n’est pas… Personne ne le reconnaissait, c’était n’importe quoi.

Les hobbies et passions de Bob Dylem ?

Bob Dylem : Je vais beaucoup au cinéma, toujours tout seul, notamment. Vraiment, ça me permet de m’évader, être dans une salle obscure, être vraiment projeté, être vraiment « matrixé » par un film ça me fait grave kiffer, ça me fait un peu oublier les soucis du quotidien et c’est un peu mon passe-temps, ouais, j’aime beaucoup le cinéma après voilà foot aussi avec les copains le dimanche, « avec les copains dimanche barbecue et tout », parler aux gens, je te jure je kiffe de ouf parler aux gens.

Ça me détend beaucoup parce que j’ai remarqué tellement de gens qui ont besoin de parler et qui ne trouvent pas trop la personne à qui parler. Ils ne sont pas très réceptifs, quand tu vois que quelqu’un veut parler. Il a besoin de se confier et qu’il trouve une chaussure à son pied, donc oreille pour l’écouter tu vois, ça se confie, ça se confie et moi je prends un plaisir dingue d’échanger, parfois, je raconte aussi mes problèmes à des personnes, on en parle, et en fait, pour moi, c’est une séance de psychothérapie, de psychologue.

Qualités et défauts ?

Bob Dylem : La première : ambitieux, tenace, tant que je ne suis pas arrivé à mes fins, je ne lâche pas l’affaire. Jovial, souriant, toujours de bonne humeur : moi j’aime bien rigoler avec les gens. Attentionné, à l’écoute, donc j’aime bien parler aux gens, très attentionné, etc. Anticonformiste. Je trouve que c’est une qualité de nos jours, de ne pas être dans le moule. De vraiment casser les barrières et d’être naturel. Enfin, d’être soi-même complètement, même pas d’imposer son style, juste d’être soi-même ! Mes défauts : impatient, impatient de dingue. J’ai tellement la dalle qu’il faut que ça se fasse vite. Parfois impulsif. Autres défauts : susceptible, c’est un peu un comble pour un humoriste. Mais parfois je peux être un peu susceptible. Tout dépend de qui ça vient mais je peux donc être un peu susceptible.

L’actualité de Bob Dylem ?

Bob Dylem : Bon, les moldus ! Si vous désirez avoir votre dose quotidienne, journalière, tous les jours ! De bonne humeur, de fous rires et de rigolade ? Vous devez me suivre sur les réseaux : @bob_dylem ! Le meilleur reste à venir ! Surtout je suis en pleine écriture, réalisation et création de ma propre web série fiction humoristique. Avec tous les personnages phares de mes vidéos, des vrais pranks, de vraies caméras cachées intégrées à la série. Je vous explique un truc, le meilleur reste à venir. Restez connectés. Soyez à l’affût, à tantôt !

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