Alors que les femmes peinent encore à accepter leurs formes généreuses, Beyoncé veut changer cela et parle de son expérience.
Alors que les femmes peinent encore à accepter leurs formes généreuses, Beyoncé veut changer cela et parle de son expérience.
Si les formes généreuses semblent encore compliquées à accepter dans notre société, Beyoncé veut y remédier. En effet, elle parle de son expérience personnelles et encourage à accepter les formes. MCE vous dit tout.
Beyoncé veut que les formes soient acceptées
Alors que Beyoncé accorde une interview à Vogue, en posant pour eux, elle parle de l’acceptation des formes généreuses. Pour elle, il est important de les accepter dans notre société. Elle déclare : »Je pense qu’il est important pour les femmes et les hommes de voir et d’apprécier la beauté des corps naturels ». D’ailleurs, on remarque qu’elle ne parle pas que des femmes, mais elle inclue aussi les hommes.
En effet, même si les hommes semblent moins ciblés par l’obligation sociétaire de perdre nos formes, ils le sont quand même et on n’en parle pas assez.
Queen B parle de son expérience personnelle
Alors qu’elle pesait près de 100 kilos avant son accouchement, la star a dû reperdre tout ce poids après la naissance de ses jumeaux. Elle explique qu’entre-temps elle devait s’accepter. Beyoncé déclare : « J’ai appris à être patiente avec moi-même et à me réjouir de mes formes pleines ».
D’ailleurs, elle s’exprime aussi sur l’éducation de ses enfants. On sait que les clichés veulent qu’un homme soit courageux et une femme sensible. Pourtant, l’égalité des sexes, ce n’est pas cela. On peut être un homme et être sensible, et être une femme et courageuse. Beyoncé véhicule ses valeurs depuis longtemps et exprime que son fils « peut être fort et courageux tout en étant sensible et gentil ». De plus, elle déclare : « Je veux que mon fils ait un QI émotionnel élevé, libre de pouvoir exprimer ses facultés de sensibilité, de droiture et d’honnêteté. Tout ce qu’une femme souhaite dans un homme, et pourtant nous ne l’enseignons pas à nos garçons. »