Adil Rami devait faire partie d'une émission sur France 2. Mais suite aux accusations de violence, le footballeur a été coupé au montage !
Adil Rami devait faire partie de l’émission « La course des champions ». Mais, le footballeur a été coupé au montage par France 2. On vous dit tout !
Adil Rami fait parler de lui en ce moment. Après avoir gagné son titre de champion du monde, il ne lui arrive pas que des bonnes choses. Le footballeur a tout d’abord été mis sur la sellette par son club qu’il appréciait l’OM.
En effet, cela faisait longtemps que le joueur ratait les entrainements. Arrivait en retard et n’était pas efficace sur le terrain. L’OM lui a donc fait comprendre que cela n’allait pas pouvoir durer. Il a alors eu une punition avant de se faire virer.
Il joue dans un club Turc. Le champion du monde semble bien s’y sentir ! Mais ce n’est pas la seule chose qui a rythmé le début d’année très houleux du footballeur.
Pamela Anderson, son ex l’a vivement accusé d’avoir été violent avec elle plusieurs fois. A l’heure ou le féminicide est un sujet de société. Cela n’est pas passé.
Adil Rami coupé au montage de France 2 !
En effet, Pamela Anderson a accusé Adil Rami d’avoir été violent a plusieurs reprises avec elle. La jeune femme a même posté des photos d’elle a l’hôpital. Avec des preuves médicales.
Cela a évidemment fait une énorme polémique. Il devait être sur France 2 dans l’émission que présentera France 2. Mais la chaîne a décidé de le couper au montage. « La course des champions », est un jeu de parcours qui oppose un sportif de haut niveau ou une personnalité à un amateur.
Chaque personnalité court une pour association. Au moment du tournage il était encore ambassadeur de l’association « Solidarité Femmes ». Qui vient en aide aux femmes en difficultés et victimes de violences.
Dans une conférence de presse, les journalistes ont donc appris par le producteur de l’émission que le footballeur ne sera pas à l’écran. « Il courait pour une association dans laquelle il ne se reconnaissait plus et réciproquement. On ne pouvait pas le garder. »