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ONPC: Léa Salamé se confie sur ses complexes !

ONPC: Léa Salamé se confie sur ses complexes !

La chroniqueuse de « ONPC » a fait quelques confidences sur ses débuts dans l’émission et la réaction de son père à l’annonce de la nouvelle

Léa Salamé est la célèbre chroniqueuse d’On n’est pas couché. La jeune femme a remplacé Natacha Polony l’année dernière et a réussi à s’imposer parmi les figures emblématiques du programme. Au coté d’Aymeric Caron qui va quitter On n’est pas couché et sera remplacé par Yann Moix à la rentrée, la jeune femme a brillé par son intelligence et son talent. En juillet, Léa Salamé est revenu à Sciences Po où elle a fait ses études et a fait quelques confidences sur ses début au sein du programme mais aussi la réaction de son père.

Léa Salamé se confie à coeur ouvert

La chroniqueuse d’ONPC a fait quelques confidences sur son intégration dans On n’est pas couché : « Science Po m’a fait grandir, m’a fait oser affronter les autres. Penser contre moi-même m’a permis de dire ‘non’ à mon père qui me rêvait diplomate, avocat, à la rigueur journaliste, mais journaliste de presse écrite, aux USA et au New Yorker. Quand je lui ai expliqué que j’allais faire de la télé, il a levé les yeux au ciel. Quand je lui ai appris que j’allais faire l’émission de Laurent Ruquier, là, je crois que je l’ai totalement achevé » a-t-elle confié.

La chroniqueuse d’ONPC accepte ses origines

Toutefois, Léa Salamé est allée encore plus loin dans ses confidences, elle a enfin accepté ses origines et son physique mais cela n’a pas toujours été le cas « Je reste persuadée qu’il faut cultiver sa différence, sa petite musique, sa singularité. On en a marre du conformisme, et ça j’ai mis du temps à le comprendre. Quand j’avais votre âge, j’ai commencé à la télé à Public Sénat et je me disais mais pourquoi je ne ressemble pas aux autres, pourquoi je ne fais pas française comme les autres, pourquoi je n’ai pas les yeux bleus, pourquoi je ne suis pas plus lisse, plus calibrée, plus formatée pour la télé »

Avant d’ajouter : « J’avais le sentiment d’être différente et je me suis employée pendant mes premières années professionnelles à gommer ces différences, à gommer mes aspérités, mon orientalité, mes rondeur. C’était une erreur. »

Crédit Photo : telestar.fr

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