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TPMP: Cyril Hanouna très heureux d’avoir battu les audiences de Quotidien « On a mis 6-0 à Barthès au deuxième set » !

TPMP: Cyril Hanouna très heureux d’avoir battu les audiences de Quotidien « On a mis 6-0 à Barthès au deuxième set » !

Le présentateur de TPMP, Cyril Hanouna a vivement partagé sa joie d’avoir battu les audiences de Quotidien avec Yann Barthès !

Tout au long de l’année une bataille des audiences a eu lieu entre Cyril Hanouna et Yann Barthès. En effet, tous les deux concurrents sur leur chaîne respective C8 et TMC, les deux animateurs ont donné le meilleur d’eux-mêmes afin d’attirer de nombreux téléspectateurs. Les deux présentateurs se sont d’ailleurs très souvent tacler durant leur émission. Et c’est finalement Cyril Hanouna qui a réussi à battre les audiences de Yann Barthès pour la fin de saison.

Cyril Hanouna se félicité d’avoir battu les audiences de Yann Barthès

L’émission de Cyril Hanouna, TPMP a réussi à faire 1,4 millions de téléspectateurs pour la fin de saison. Yann Barthès a quant à lui réuni 100 000 téléspectateurs de moins que son concurrent. Cyril Hanouna a même balancé : « On a mis 6-0 à Barthès au deuxième set ! ». Et dans une interview accordée au Parisien, l’homme a fait plusieurs confidences sur son programme.

Cyril Hanouna a expliqué : « Au début de la saison, on a voulu faire une émission entre Le Grand Journal et C dans l’air. Mais du coup, on a un peu perdu l’ADN de l’émission. Les chroniqueurs avaient aussi des appréhensions, mais c’est normal. En Octobre, j’ai dit à l’équipe : ‘Ne regardez plus les audiences. Amusez-vous.’ J’ai ensuite demandé qu’on reprenne le déroulé de l’émission que l’on faisait en 2013. Le tout en réactualisant quelques séquences. Et les chiffres sont remontés ».

Cyril Hanouna et Yann Barthès : la guerre des animateurs

Dans les colonnes de Marianne, Cyril Hanouna s’était aussi confié sur sa petite guerre avec Yann Barthès. Il avait expliqué : « Barthès et moi ne nous ressemblons pas du tout. On est issu de mondes différents. Mais l’idée d’une rivalité entre nous s’est installée. Je pense d’ailleurs que, lui comme moi, plus ou moins inconsciemment, on s’est laissé prendre à ce jeu. C’était une manière pour tous les deux de nous démarque. Barthès a poussé le curseur vers le côté bobo. Et moi vers le côté populaire ».

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