Buzz
Partager sur

SLT: Stéphane Guillon se moque des journalistes après les attentats de Paris !

SLT: Stéphane Guillon se moque des journalistes après les attentats de Paris !

Alors que SLT revenait ce samedi après les attentats de Paris, Stéphane Guillon a proposé une chronique drôle et décalée où il se moque gentiment des journalistes

Après avoir été déprogrammée la semaine dernière, l’émission SLT est revenu ce samedi sur nos écrans. Pour l’occasion, Thierry Ardisson s’est entouré de nombreuses personnalités. Mais ce n’est pas tout. Stéphane Guillon a également proposé sa chronique qui revenait cette fois-ci sur les terribles attentats qui ont frappé la France la semaine dernière. Un billet corrosif qui se moque gentiment des journalistes et des terroristes.

Le billet de Stéphane Guillon dans SLT

« Même si certains disent qu’il ne faut courber la tête, que le show must go on. Même si je ne vais pas pleurer à grosses larmes comme Laurence Ferrari, sortir une boîte de Kleenex comme Madonna ou me jeter dans une salle vide comme Shy’m… Difficile de contenir son émotion » avoue dans un premier temps Stéphane Guillon évoquant ensuite les choix de programmation des chaînes quelques heures après le drame. « France 2 a eu raison de déprogrammer ‘Ze Fiesta !’ avec Patrick Sébastien. Chanter ‘Quand il pète il troue son slip’ après un tel drame, c’est délicat » reconnaît l’humoriste qui avait il y a quelques semaines taclé Nadine Morano.

Les journalistes en pleine bourre – Stéphane Guillon du 21/11

« Pour les mêmes raisons, Salut les Terriens a été déprogrammé pour laisser la place à Maïtena Biraben. Comme si une catastrophe ne suffisait pas » lâche-t-il alors au sujet du Grand Journal spécial programmé samedi dernier, avant de préciser qu’il s’agit d’une plaisanterie.

Stéphane Guillon se moque des journalistes dans SLT

Ensuite, l’humoriste s’en est pris à David Pujadas en pointant du doigt le bilan de 140 morts communiqué par le présentateur des JT de France 2 dans le feu de l’action. L’humoriste expliqué également que pour les journalistes ce genre d’information est du pain béni.

Ainsi, selon lui, l’actualité passe à la trappe au profit du sujet du jour « Inévitablement, tous les autres sujets d’info passent à la trappe. Le déraillement du TGV en Alsace, dix morts, tout le monde s’en est tapé. (…) On rate des trucs forcément. David Pujadas aurait préféré que le TGV alsacien déraille dans un mois ! Merde, merde… Pendant quinze jours on n’a rien et là deux trucs qui se téléscopent » poursuit l’humoriste dans la chronique que puremedias.com vous propose de découvrir.

Crédit Photo : metronews.fr

Afficher +