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Le Mad Mag: Ayem avoue, « j’ai fait de la téléréalité par intérêt financier !

Le Mad Mag: Ayem avoue, « j’ai fait de la téléréalité par intérêt financier !

Invitée chez France Inter, l’animatrice du Mad Mag, Ayem, a fait des révélations sur sa participation à une téléréalité. C’était par intérêt financier

Tout le monde le sait aujourd’hui, la téléréalité est un excellent moyen de gagner de l’argent. La paye est plutôt intéressante lorsqu’on participe à un programme. Et par la suite, les placements de produits et les bookings rapportent encore plus. C’est pourquoi, bon nombre de Français souhaitent devenir candidat de téléréalité. Invitée chez France Inter, l’animatrice du Mad Mag, Ayem, a avoué qu’elle avait participé à ces émissions par « intérêt financier ».

Le Mad Mag : Ayem intéressée financièrement

Contrairement à certains, Ayem, elle, l’a avoué. Si elle est devenue candidate de téléréalité, c’était par intérêt financier. L’animatrice du Mad Mag a d’abord confié : « Pour être tout à fait honnête, quand j’ai commencé la télé-réalité, je sortais d’un contexte, d’un schéma familial un peu compliqué et d’un milieu très modeste et il y avait cette espèce d’intérêt financier. Je ne m’en suis jamais cachée. »

Avant d’ajouter : « Je rêvais d’être animatrice, de faire du journalisme. Je ne suis pas passée par le chemin normal des études de journalisme pendant des années et Secret Story a été un tremplin. »

Le Mad Mag : les jeunes ont besoin de la téléréalité

Dans la suite de l’entretien, l’animatrice du Mad Mag a fait une déclaration qui ne devrait pas plaire aux détracteurs de la téléréalité. En effet, Ayem a déclaré qu’il fallait que les jeunes regardent ces émissions, à petite dose, et qu’ils n’étaient pas obligés d’être devant Arte : « Il faut aussi de la télé pour les jeunes. Il faut arrêter avec ces espèces de clichés où les jeunes doivent forcément regarder Arte ou des trucs intellectualisant. Ils ont besoin de rêver. Bien sûr, toujours à bon escient. J’ai pas envie que les gamins qui me regardent soient obsédés par ça et qu’ils ne fassent plus que ça. Mais après leurs études, leurs devoirs (…) ils ont le droit d’avoir leur télé à eux. »

En revanche, elle a clashé certains des candidats aujourd’hui en expliquant : « Les candidats ont besoin de donner toujours plus pour exister encore plus. Ça peut virer au cauchemar, certes, mais je ne vais pas cracher dans la soupe. Grâce à la télé-réalité, je vis de ma passion. Je fais un métier que j’adore. »

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