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David Pujadas craint-t-il d’être remplacé par Harry Roselmack ? Ses confidences dans « C à Vous »

David Pujadas craint-t-il d'être remplacé par Harry Roselmack ? Ses confidences dans « C à Vous »

David Pujadas est-il sur le sellette ? L'animateur de France 2 aurait peur d'être remplacé par Harry Roselmack

Après le départ Claire Chazal qui a été éjectée du JT de TF1, David Pujadas aurait craint également de quitter le journal télévisé qu’il présente depuis des années sur la chaîne France 2. En effet, selon une rumeur le présentateur serait sur un siège éjectable et aurait appelé Delphine Ernotte, la nouvelle présidente de France Télévisions, après son arrivée à la tête du groupe l’été dernier, pour savoir s’il était sur la sellette.

C’est en tout cas ce que raconte dans son dernier livre Michel Drucker, qui explique que le présentateur-star du 20 Heures de France 2 craignait qu’Harry Roselmack ne prenne sa place aux commandes du journal télévisé. Mais alors info ou intox ? David Pujadas va-t-il quitter le JT de France 2 et être remplacé par Harry Roselmack qui présente déjà l’émission 7 à 8 ?

David Pujadas remplacé dans son JT ?

Invité dans l’émissionC à Vous présentée par Anne-Sophie Lapix, David Pujadas s’est confié sur le sujet : « Ce n’est pas que j’étais préoccupé, le mot est fort, mais à partir du moment où Thierry Thuillier partait, je voulais savoir quelle ligne éditorial la chaîne allait suivre » a poursuivi le journaliste. Si le journaliste préfère déclarer qu’il est resté serein, il a toutefois reconnu avoir abordé cet épineux sujet avec sa nouvelle présidente : « Vu qu’elle avait gentiment démenti, et Harry aussi, je lui ai dit que c’était peut-être mieux que ce soit dit parce que ce sont des choses qui ne sont jamais très agréables. »

David Pujadas conserve son JT

David Pujadas a pu donc être rassuré, il n’était en réalité pas sur la sellette. A l’image de Jean-Pierre Pernaut qui a également été victime de rumeur, le journaliste était donc inquiet Pourtant, il reste un des animateurs les plus appréciés. Ainsi, les inquiétudes du journaliste n’étaient en réalité pas vraiment fondés.

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