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Un fillette de 9 ans participe à une course d’obstacle destinée aux Marines américains !

Un fillette de 9 ans participe à une course d'obstacle destinée aux Marines américains !

Une fillette de 9 ans a participé à une course d'obstacle destinée aux Marines américains. Elle s'était entraînée pendant 9 mois pour y arriver

Une fillette de 9 ans s’est entraînée 5 jours sur pendant 9 mois dans le but de participer une compétition hors norme : la Battlefrog race. Cette course, exclusivement réservée aux adultes, a été conçu pour les Marines.

La fillette de 9 ans s’est entraînée 5 jours sur 7 pendant 9 mois

Le week-end dernier, Milla Bizzotto, originaire de Floride, a accomplit un véritable exploit. Cette fillette de 9 ans pesant à peine 30 kilos, a participé à la Battlefrog race, une compétition qui a entièrement été conçu par l’US Navy, la Marine américaine. Basé sur le modèle des entraînements des Marines, cette course comporte divers épreuves très rudes. Milla a parcouru 58 kilomètres en course à pieds, 8 kilomètres à la nage, et elle a effectué 6 tours d’un parcours d’obstacle où elle a dû, entre autre, ramper sous des fils barbelés. Cette compétition surhumaine, initialement destinée aux adultes, a duré 24 heures. Mais la petite fille a tout de même eu droit à 4 heures de sommeil. Pour réussir une telle performance, l’écolière s’est entraîné très dure 5 jours sur 7 pendant 9 mois.

La fillette était victime de harcèlement à l’école

Mais pourquoi une fillette aussi jeune voudrait participer à une telle épreuve ? Tout simplement pour prouver à ses camarades de classe qu’elle n’est pas faible. Milla était victime de harcèlement scolaire de la part de certains enfants de son école. Mais elle ne s’est pas laissée abattre a tenu à marquer le coup. « Certaines personnes me traitait de tous les noms, et disait que je n’avais pas le niveau. Je ne souhaite à personne de vivre ce que j’ai vécu. Je veux juste montrer aux autres enfants qu’ils peuvent faire ce qu’ils veulent », a expliqué Milla Bizzotto au journal local Miami Herald. Christian Bizzotto, le père de l’enfant revient sur la démarche engagée par sa fille : « je crois que le harcèlement qu’elle a subi n’a pas eu de conséquences dramatiques pour elle parce qu’elle a compris qu’elle était capable de se défendre ». On peut dire que ce qui ne l’a pas tué l’a rendu beaucoup plus forte.

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