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Scandale: il se déguise en djihadiste et crie « Allah Akbar » devant une synagogue !

Scandale: il se déguise en djihadiste et crie « Allah Akbar » devant une synagogue !

A Vincennes, un homme s'est déguisé en djihadiste avant de crier « Allah Akbar » devant une synagogue

A l’approche du 1er avril, vous avez certainement plein d’idée de mauvais tour à jouer votre entourage. Si on peut vous donner un petit conseil, ne faîtes pas comme cet homme qui s’est déguisé en djihadiste avant de crier « Allah Akbar » devant une synagogue. Après les attentats de Paris et ceux de Bruxelles, cet homme à l’humour plus que douteux n’a rien trouvé de mieux pour tenter d’amuser la galerie.

L’homme a crié « Allah Akbar »

Les faits se sont déroulés jeudi 24 mars 2016, aux alentours de 21 heures. Un homme de 40 ans s’est rendu à la synagogue Habad Loubavitch de Vincennes, à l’occasion de la fête juive de Pourim, qui est la célébration du miracle qui a sauvé les juifs en Perse, vers l’an 480 avant l’ère courante. A l’occasion de cette manifestation joyeuse, les croyants ont pour habitude de se déguiser. Le quadragénaire n’a pas échappé à la tradition, mais son déguisement était de très mauvais goût. En effet, l’homme est venu déguisé en djihadiste. « Il était vêtu d’une djellaba, muni d’une kalachnikov factice et criait Allah Akbar » raconte un policier interrogé par le Parisien. Heureusement, les craintes ont vite été dissipés car l’individu à l’humour très particulier était bien connu des fidèles. « Ça s’est rapidement décanté car c’est quelqu’un que les fidèles connaissent parfaitement » explique la source policière. En revanche, les deux militaires qui gardaient la synagogue ont été très surpris.

Le faux djihadiste a voulu détendre l’atmosphère

Peu de temps après les évènements, la police est intervenue et a convoqué le farceur au commissariat le vendredi 25 mars afin qu’il s’explique. D’après le Parisien, l’homme de 40 ans voulait « détendre l’atmosphère ». Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il a lamentablement échoué. Il a reconnu avoir fait « une grosse bêtise ». Il s’est ensuite justifié en disant qu’il a voulu profiter de Pourim. On dit faute avouée à moitié pardonnée, pas sûre que le dicton fonctionnera cette fois-ci.

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