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Insolite: un TGV reste à quai après avoir été tagué d’un « Booba vs Kaaris » !

Insolite: un TGV reste à quai après avoir été tagué d'un "Booba vs Kaaris" !

Un TGV a dû rester à quai après avoir été découvert avec un immense tag avec écrit "Booba vs Kaaris". Une enquête est ouverte !

L’affaire Booba vs Kaaris investit même la SNCF. En effet un TGV n’a pas pu partir vendredi 22 février à cause de gros tags inscrits sur le train. Alors qu’il devait partir au départ de la gare de Saint-Malo (Ille-et-Vilaine), l’inscription « Booba VS Kaaris » recouvrait environ une longueur de cinq voitures, soit 210 m2. MCE vous en dit plus.

Un tag découvert sur un train

En effet vendredi 22 février, la SNCF a du être surprise en découvrant un de ces TGV entièrement targué. « Le TGV qui devait faire Saint-Malo-Paris n’a pas pu partir car il a été tagué dans la nuit sur une longueur assez importante et entièrement couvert, cela concerne également les vitres », a expliqué Thierry Chaplais de la direction de la communication de la SNCF.

Mais encore plus impressionnant les tags évoque les noms « Karis vs. Booba », bien que le nom de Kaaris soit mal orthographié. « Le tag a été peint au rouleau. La surface a été occultée pour laisser apparaître des noms à la peinture noire », a-t-il ajouté. Pas moins de 210 m2 du train ont été recouverts empêchant donc tout bonnement celui-ci de prendre la route. La police et la sûreté ferroviaire ont commencé à enquêter et ont effectué les prélèvements nécessaires. procédé à des prélèvements et une enquête a été ouverte. La SNCF a annoncé qu’elle déposera plainte dès lundi. Pour le moment le montant des coûts n’a pas été dévoilé. Les voyageurs ont quant à eux du prendre un TER avec correspondance à Rennes puis sur Paris. Le TGV quant à lui se trouve au technicentre de Paris afin de retirer le tag.

Les auteurs pas encore trouvés !

En effet le ou les auteurs du tag sont toujours recherchés par la police. Ils ont du rentrer par effraction dans le domaine de la SNCF, d’après les premiers éléments de l’enquête. « Pour peindre un TGV, il a fallu des perches. Il y a un caténaire qui est alimenté, même la nuit, le risque pris par des personnes qui ont fait cela était important. Il y aurait pu avoir des conséquences », a ajouté M. Chaplais.

La SNCF regrette qu’un train soit immobilisé. Cela « l’empêchant d’avoir un parc optimum pour le départ de vacances« .

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