Né sans bras ni jambes, un petit indonésien de 11 ans s’est trouvé un passe-temps : jouer à la Playstation. En plus, il semblerait qu'il soit très bon
Si vous avez eu le malheur de vous casser une jambe ou un bras, vous devez savoir à quel point il est difficile d’effectuer les tâches quotidiennes avec un membre dans le plâtre. Alors imaginez ce que doit vivre cet enfant indonésien qui est né sans bras ni jambes. Malgré ce handicap, le petit garçon arrive à garder le sourire. Il a également un passe-temps : jouer à la Playstation. D’ailleurs, il ne lâche jamais sa console et serait même très fort !
Il n’a ni bras ni jambe et est accro à la Playstation
Tiyo Satrio est né sans bras ni jambes. Ce petit garçon indonésien de 11 ans devrait constamment voir le verre à moitié vide et avoir une vie malheureuse, mais au lieu de ça, il a appris à être heureux. L’enfant possède un handicap qui le limite beaucoup au quotidien, mais malgré cela, il s’épanouit en jouant à la Playstation. Vous vous demandez très certainement comment, et bien tout simplement en utilisant les manettes à l’aide de son menton. Depuis, le jeune garçon fait sensation dans son pays.
Mimi est la mère de Tiyo Satrio. Elle a déclaré à la presse « qu’après avoir pris un bain, il joue jusqu’à ce que le professeur le ramène. Après l’école, il joue à nouveau. Chaque jour, il joue. »
Malgré son handicap, Tiyo Satrio arrive à suivre les cours
On pourrait croire que le garçon de 11 ans vit cloitré chez lui, mais ce n’est pas le cas. En effet, Tiyo Satrio va à l’école et il est capable de tenir un stylo dans sa bouche et il a même appris à écrire. Le petit indonésien suit les cours au même rythme que ses camarades de classe.
D’ailleurs, le directeur de son école a même expliqué que malgré son handicap, l’enfant arrive à résoudre des problèmes de mathématiques de quatrième année, à savoir les multiplications et la divisions.
Mais il explique également que Tiyo Satrio n’a pas toujours été aussi épanoui. Dans un premier temps, il a dû lutter contre les problèmes d’insécurité et le manque de confiance en lui dû à son handicap physique.
Aujourd’hui, il s’est parfaitement intégré dans la société. L’enfant compte désormais sur les autres pour le transporter ou le pousser dans son fauteuil roulant. Sa joie de vivre, son sourire et sa vivacité ont fait qu’il est aimé de tous en Indonésie.
Crédit photo : Jefta Images/Barcroft Images
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