Une indonésienne a découvert après un an de mariage que son mari était une femme! Ses soupçons sont apparus lorsqu'il a refusé de consommer le mariage
La vie de couple, ce n’est pas facile tous les jours. Alors imaginer ce qu’a dû ressentir cette indonésienne lorsqu’elle a appris que son mari était en réalité une femme! Vendredi dernier, la police locale a rapporté qu’elle avait interpellé le « mari » en question.
Son mari était en réalité une femme
Heniyati, la femme trompée, a eu un choc en apprenant la terrible nouvelle. Suwarti, son soit-disant « mari » âgé de 40 ans, n’était pas celui qu’elle pensait. En effet, ce dernier était en réalité une femme. Il s’était fait passer pour un homme en épousant Heniyati, de 15 ans sa cadette, l’année dernière sur l’île de Java. Le faux époux aurait même fait appel à des individus afin qu’ils prétendent qu’ils faisaient partie de sa famille lors du mariage a rapporté Muhammad Kariri, un responsable de la police locale.
Quand le couple s’est rencontré, Suwarti a dit s’appeler Muhammad Efendi Saputra. Il avait alors affirmé qu’il était policier. Les tourtereaux ont roucoulé pendant quelques mois avant de se marier en octobre dernier dans le district de Boyolali.
Son mari a refusé de consommer le mariage
Avant le mariage, l’indonésienne n’aurait jamais imaginer qu’elle était victime d’une telle tromperie. C’est après avoir eu la bague au doigt qu’Heniyati a commencé à avoir des soupçons. En effet, il s’est avéré que son « mari » refusait de consommer le mariage. Après quelques mois d’union, elle a finalement découvert le pot aux roses. Heniyati a trouvé une carte d’identité dans le portefeuille de Suwarti. Cette carte prouvait que son soit-disant époux était en réalité une femme.
La pauvre femme était Sous le choc en apprenant la nouvelle! Elle s’est ensuite empressée de dénoncé celui qu’elle pensait être son mari à la police. L’usurpateur a été interpellée jeudi dernier et il a reconnu la supercherie. Il, ou devrait-on plutôt dire elle, est soupçonnée de falsification d’identité et risque jusqu’à sept ans de prison.