Dans le Morbihan, un couple a fait une découverte abominable. Ils ont trouvé une tête de serpent dans une boîte de haricots verts
Lundi 28 mars, à Nostang, dans le Morbihan,un couple a fait une découverte des plus écœurantes. Alors qu’ils s’apprêtaient à passer à table, les tourtereaux ont trouvé une tête de serpent dans une boîte de haricots verts.
Rosbif, haricots verts et tête de serpent
Le couple était sur le point de déguster un délicieux plat composer de rosbif et de haricots verts. Mais alors qu’ils sont en pleine préparation, Dominique Le Franc, explique avoir aperçu une tête de serpent dans la boîte de conserve. L’homme a raconté son histoire à Ouest France : « je commençais à manger, lundi soir, quand, dans mon assiette, au milieu des haricots, j’ai vu cette petite tête sombre d’orvet ou de petit serpent. J’ai fait un bond ». Et il y a de quoi ! La tête qu’il a trouvé mesure environ 3 cm. « Ça m’a coupé l’appétit. Je ne suis pas près de remanger des haricots verts » poursuit-il.
Morbihan. Une tête de serpent dans leur boîte de haricots https://t.co/HvvyemTdJ5 pic.twitter.com/M3dKRTDdH7
— Ouest-France (@OuestFrance) 30 mars 2016
Le risque zéro n’existe pas
La boîte de haricots verts qui contenait la tête de serpent provenait de la conserverie Kerlys. L’établissement appartient au groupe Intermarché. Contactée par Ouest France, la conserverie se défend en affirmant qu’il y a une grande diversité d’animaux qui vivent sur les lieux de plantations. « Les haricots verts sont cueillis mécaniquement dans les champs où vit une grande diversité d’animaux », a déclaré la direction de la communication d’Intermarché. Elle poursuit en en expliquant qu’il « existe sur les lignes de production plusieurs étapes de contrôles et de tris, visant à éliminer les corps étrangers avant le conditionnement : détecteurs de métaux, bains de lavage, détecteur optique… Grâce à ces contrôles, la présence de corps étrangers dans le produit fini arrive extrêmement rarement. Mais le risque zéro n’existe pas. Nous sommes en veille sur toutes les innovations technologiques de détection qui permettraient d’éliminer complètement ce risque ». malheureusement, ce genre de découverte n’est pas si rare que cela. Ce qui est sûre, c’est que Dominique Le Franc et sa compagne ne sont pas prêt de remanger des haricots verts en boîte.