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Daesh: un recruteur refuse d’aller en Syrie car il n’y a pas de papier toilette !

Daech: un recruteur refuse d'aller en Syrie car il n'y a pas de papier toilette !

Aussi incroyable que cela puisse paraître, un recruteur de Daesh a avoué qu'il a refusé d'aller en Syrie parce qu'il n'y avait pas de papier toilette

Même les terroristes ont des problèmes de premier ordre. Des problèmes du genre: il n’y a pas de papier toilette. Cela peut vous sembler absurde, mais sachez qu’un recruteur de Daesh a refusé de se rendre en Syrie parce qu’il n’y a pas de papier toilette! Il faut croire que même les monstres aussi aiment avoir les fesses propres.

Le recruteur de Daesh avoue qu’il n’y avait pas de papier toilette en Syrie

Hamdi Alqudsi est un australien qui est accusé d’avoir recruté des militants du groupe terroriste Daesh. Lors de l’audience qui a eu lieu le 4 juillet dernier, Hamdi Alqudsi a reconnu devant le juge qu’il avait refusé de se rendre dans un camp terroriste en Syrie pour une raison très particulière. En effet, il a affirmé qu’il n’y avait pas de papier toilette.

De plus, d’après les documents qui ont été livrés au juge, le recruteur de Daesh échangeait des messages sur WhatsApp avec les individus qu’il avait recruté et qui venaient d’arriver dans le camp terroriste syrien. Ces nouveaux membre du groupe lui ont décrit leur conditions de vie. Ils ont notamment expliqué qu’ils étaient obligés de dormir sur le sol, et parfois même dans la rue!

Il apprend qu’il n’y a pas de papier toilette

En plus de ces conditions de vie terribles, les apprentis-terroristes de Daesh lui apprennent également qu’il n’y avait pas de toilettes dans le camp! Ils lui ont ensuite expliqué qu’ils étaient contraints d’utiliser des fosses ainsi que de l’eau pour avoir les fesses propres.

Hamdi Alqudsi a visiblement été effrayé par ces conditions de vie puisqu’il a pris la décision de ne pas quitter l’Australie.

Cet homme a été arrêté en décembre 2013. Il a été accusé d’avoir recruté des australiens musulmans. En ce moment, son cas est examinée par la Cour suprême de Nouvelle-Galles du Sud.

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