Le livre de Johnny Hallyday et Amanda Sthers est un véritable succès en librairie. Mais certaines célébrités citées dans les bonnes pages de cette biographie ont décidé de contre-attaquer
La sortie de la biographie de Johnny Hallyday, Dans mes yeux, a provoqué polémique et échanges houleux entre l’intéressé et des personnes de son entourage. Une d’entre elle a été profondément marquée par ces révélations, c’est Adeline Blondieau.
L’actrice de Sous le Soleil avait commencé une relation amoureuse avec Johnny alors qu’elle n’avait que 14 ans. Ils se marièrent deux fois mais finirent par se séparer définitivement en 1995.
Les déclarations de trop
Dans mes yeux, écrit par Amanda Sthers ex-femme de Patrick Bruel, a présenté l’adolescente qu’était Adeline comme une croqueuse d’homme, jouant avec le feu du rockeur.
À travers une lettre ouverte, l’actrice s’est immédiatement insurgée contre ce qu’elle considère comme mensonges et diffamation : Vous évoquez ici une adolescente de 14 ans, qui naïvement avait pris pour un amour fou, un amour extraordinaire, le jeu d’un adulte de 43 ans. Vous êtes-vous demandé, qui de lui ou de moi rejoignait l’autre dans sa chambre, dans le silence de la nuit, quand l’alcool avait fait son effet ?
Un règlement de compte tumultueux et impudique qui mènera à un démêlé en justice. Adeline Blondieau a finalement obtenu 1 euro pour diffamation et atteinte à la vie privée. 1 euro pour le symbole, comme l’a fait comprendre la jeune femme blessée.
Silence radio du côté d’Amanda Sthers
Ni Johnny Hallyday, ni Amanda Sthers n’ont répondu à la lettre ouverte d’Adeline Blondieau. L’auteure de la biographie a quand même tenu à se défendre dans les médias : Je n’ai pas réagi et je ne réagirai pas avec vous non plus parce que je pense que la lettre ne doit pas m’être adressée
, dit-elle avant d’ajouter Je comprends sa douleur mais je ne peux pas m’en excuser puisque que je suis juste « transcriptrice » d’un autre.
Une telle remarque ne saurait calmer la rancœur d’Adeline qui a fait comprendre à qui veut l’entendre que cette affaire ne s’arrêtera pas là.
Manon Monmirel
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