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Sciences: le vrai sexe faible, c’est l’homme !

Voilà une nouvelle qui risque d’en surprendre plus d’un. Selon une étude scientifique, le vrai sexe faible ce sont les hommes et non pas les femmes.

Les femmes seraient plus résistantes que les garçons. L’étude qui pourrait bien casser les clichés.

 

La fin du stéréotype ?

Selon la science, il existe bien un sexe faible. Mais ce n’est pas celui auquel on a tendance à penser. En effet, le sexe faible serait en réalité l’homme ! Et oui vous ne rêvez pas. En fait, les femmes sont plus résistantes face aux maladies et aux famines. Même si elles continuent d’être considérées comme un sexe faible dans la vie de tous les jours. Mais cela dépend aussi de certains facteurs sociaux et biologiques.

La femme forte

Cette étude scientifique et historique a été menée par des chercheurs de l’université Duke de Caroline du Nord. Le résultats est clair : les femmes seraient plus résistantes que les hommes. En fait, la science nous révèle maintenant ce que beaucoup pensaient déjà. Il faut dire que certains facteurs auraient déjà pu nous mettre la puce à l’oreille. Par exemple, le fait que les femmes ait une espérance de vie plus forte que les hommes.

Même si la tendance risque de s’inverser : les femmes adoptent de plus en plus une mauvaise qualité de vie liée à l’alcool et à la cigarette. L’étude a été réalisée avec des données qui remontent à plus de 250 ans plus tôt. Une bonne chose pour étudier les taux de survie de certaines populations face à des situations dramatiques. C’est par exemple le cas des anciens esclaves aux Etats-Unis, les victimes de famine e Suède, ou encore l’épidémie de rougeole en Islande. Bien sur, la femme n’est pas immortelle. Et dans de telles conditions de vie, l’espère reste toujours faible.

Malgré tout, l’avantage est toujours du côté des femmes. Par exemple, des anciens esclaves d’Amérique avaient dû s’installer au Libéria. Mais l’année qui suit, l’espérance de vie était bien basse. Il fallait compter 1,68 ans pour les hommes et 2,23 ans pour les femmes. Ainsi, il existe bien des facteurs sociaux comme les habitudes de vie mais aussi des facteurs biologiques. L’hormone masculine, la testostérone, y est aussi pour quelque chose : elle augmente le risque de quelques conditions mortelles.

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