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Santé: être bordélique et désordonné vous rend plus heureux et intelligent !

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Une récente étude sur les bordéliques prouve qu'ils sont beaucoup plus heureux et en bonne santé que les maniaques. Et par extension, plus intelligents.

De plus en plus de personnes revendiquent le fait d’être bordélique. Et ce, à raison. Car être un bordélique serait extrêmement bénéfique pour votre physique, et pour la santé mentale. Si vous êtes maniaque et dépressif, nul doute que vous devez essayer de « lâcher-prise » et de devenir beaucoup plus laxiste sur toutes les questions lié à l’ordre, et surtout au désordre.

 

Santé mentale : ne rangez rien !

 

Car c’est ce que beaucoup de psychologues pensent. La dépression peut être causée par de nombreux facteurs. Et l’un d’entre eux serait de faire trop souvent le ménage. De trop ranger l’appartement ou la maison. Car ces tâches ménagères sont souvent éprouvantes. Elles nous « coinceraient dans des manies répétitives et peu épanouissantes », comme l’explique l’écrivaine Jennifer McCartney.

Car tout ceux qui ont déjà eu un appartement étudiant savent de quoi je parle. Très souvent, le ménage et la vaisselle sont des tâches qui sont oubliés au lendemain, ou pire. Et bien les faire peut très largement augmenter le risque de dépression. Par contre, évitez de trop prendre ce risque au pied de la lettre. Cela évitera de transformer l’appartement en déchèterie.

 

Travaillez bien, travaillez en bordel !

 

L’économiste et écrivain britannique Tim Harford s’est également penché sur la question. Il a remarqué que les personnalités « intelligentes » étaient également bordéliques. Il aurait aimé trouvé une corrélation entre les deux. Et il y en a une ! Si on sait que certaines molécules agissent sur le bonheur, il explique que travailler dans le désordre peut rassurer. Calmer. Un excès de propreté peut très souvent être angoissant.

« J’ai voulu me pencher sur la question. Avoir plusieurs projets peut sembler source de distraction mais leur variété mobilise plutôt notre attention. A l’école, on nous dit de nous concentrer sur notre travail mais en fait on ne fait que passer d’une matière à l’autre tout au long de la journée… » explique-t-il au journal LaLibre.

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