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Insolite: fumer de la weed protègerait le foie des effets néfastes de l’alcool !

Insolite: fumer de la weed protègerait le foie des effets néfastes de l’alcool !

Une étude scientifique très sérieuse a révélé que fumer de le weed protègerait le foie contre les effets désastreux de l’alcool sur l’organe !

Une étude scientifique très sérieuse a conclu que la weed aurait des effets bénéfiques pour le foie et le protègerait aussi des effets nuisibles de l’alcool. En effet, d’après cette recherche il semblerait même que les buveurs et les fumeurs de cannabis auraient moins de chance de développer des maladies dangereuses du foie que les personnes qui ont seulement recours à la boisson !

La weed protègerait le foie de l’alcool

Les résultats de l’Université du Québec ont dévoilé que les buveurs qui fument aussi de la weed auraient moins de chances de développer l’hépatite, la cirrhose, la stéatose, le carcinome hépatocellulaire mais aussi certains cancers du foie. Ces derniers ont examiné plus de 320 000 personnes qui avaient des antécédents d’alcoolisme.

L’hépatologue et chercheur principale de cette étude a révélé : « Nous avons constaté que les gens dépendants au cannabis sont en réalité beaucoup plus protégés contre les maladies alcooliques du foie. »

De plus ceux qui consomment en abondance de l’alcool ont 90% de chance de développer une maladie du foie. En revanche, les gros buveurs et les fumeurs d’herbe à basse consommation ont 8% de chance de développer ces infections. Les personnes qui boivent énormément et qui fument beaucoup ont seulement 1,36% de chance de les manifester.

« Il ne faut pas tirer de conclusions hâtives »

M.Bukong a aussi expliqué : « Si vous abusez de l’alcool, vous risquez d’avoir un intestin qui fuit. La bactérie est transférée de votre intestin vers la veine porte hépatique, puis vers le foie. Le foie reconnaît alors ces pathogènes et commence à produire des cytokines inflammatoires. »

L’homme a aussi ajouté : « Je pense que nous allons devoir aller plus loin et détailler les mécanismes moléculaires détaillés et aussi déterminer quels sont les effets secondaires potentiels. Il ne faut pas tirer de conclusions hâtives sur la base de ces données. On en saura plus ces deux prochaines années. »

Source : Vice

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