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Confinement: les étudiants souffrent de plus en plus de la solitude !

Confinement: les étudiants souffrent de plus en plus de la solitude !

Le confinement ne laisse pas vraiment la place aux relations sociales. Durant cette période de quarantaine, les étudiants en pâtissent donc !

On ne peut pas dire que le confinement soit la meilleure chose pour nouer des liens. À moins bien sûr de vivre avec ceux qu’on aime. Bon nombre d’étudiants souffriraient donc de cette solitude. MCE TV vous dit tout de A à Z.

Les étudiants dans le supérieur n’ont eux non plus pas dérogé à la règle. Le confinement ne les a donc pas épargnés.

Bon nombre d’entre eux ont alors continué de bûcher sur leurs examens à venir. Ce, grâce aux nombreux cours en ligne.

En effet, l’État a mis en place moult plateformes et services censés leur faciliter la tâche. Cela étant, rien pour pallier la solitude pesante.

Se retrouver seul avec soi-même peut parfois aider à se trouver de nouvelles passions. Ou bien à se découvrir soi-même et prendre du temps juste pour soi.

Cela dit, pour beaucoup, le confinement signifie solitude. Un constat malheureux, bien que la Covid-19 nous force à rester chez nous, faute de vaccin.

Confinement: les étudiants souffrent de plus en plus de la solitude !
Confinement: les étudiants souffrent de plus en plus de la solitude !

Reconfinement: les étudiants dépriment face à la distanciation sociale

Il faut dire qu’à part pour remplir le frigo, les étudiants n’ont pas d’autre choix. Ils ne peuvent pas, comme certains salariés, se déplacer en présenciel.

« Pendant le premier confinement, on se connectait tous ensemble avec ma promo, mais cette fois-ci, plus du tout », a dit une étudiante au magazine La Provence. « On sent que tout le monde est un peu à bout ».

Si certains organisent des soirées sauvages, la plupart des jeunes respectent pourtant les règles du reconfinement. Bien que celui-ci pèse sur leur moral.

La distanciation physique semble nuire à « l’identité de groupe », comme le rappellent nos confrères de La Provence. D’autant plus pour certains qui vivent seuls dans des chambres de bonne.

Ils ne peuvent pas non plus relâcher la pression des examens en organisant des soirées. Ou bien tout simplement en trouvant réconfort les uns auprès des autres.

Il n’est donc pas du tout étonnant que tout cela sape le moral des étudiants, qui ne savent nullement quand tout va se terminer. D’autant plus à l’heure où le chômage partiel progressse.

Certains ignorent même s’ils auront un avenir professionnel une fois que tout cela sera terminé. Toutes ces incertitudes ne font que renforcer ce sentiment de solitude profond.

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