Le cannabis pourrait bientôt se légaliser en France. En effet, cette drogue va être utiliser pour ses vertus thérapeutiques.
La consommation du cannabis n’est pas autorisée en France. Néanmoins, cette drogue pourrait pourtant bientôt se faire prescrire pour certains patients atteints de maladies graves.
Le cannabis est encore illégal en France mais les choses pourraient commencer à bouger. En effet, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé souhaite introduire cette drogue pour ses vertus thérapeutiques. Depuis fin 2018, L’ANSM tente de faire passer une loi pour une expérimentation de cette drogue sur certains patients. Il semblerait que cela soit sur la bonne voie.
Ainsi, le cannabis va être comme un moyen de soigner certains patients. Néanmoins, cela reste encore sous expérimentation et le but est de voir si cette drogue peut soulager certains malades. Néanmoins, tout le monde ne pourra pas se soigner à l’aide de cette drogue. Ceux qui pourront en prendre seront des personnes « en impasse thérapeutique » selon Le Monde. Il s’agira notamment des personnes qui souffrent d’épilepsies qui ne se soulagent pas avec les traitements.
Le cannabis utilisé pour certaines maladies graves !
Puis, les patients atteints de cancer et qui suivent des séances de chimiothérapie pourront aussi s’en faire prescrire. Néanmoins, ce traitement pourra se faire valider selon les effets secondaires du traitement. Finalement, le cannabis pourrait servir aux patients en soins palliatifs, des gens souffrant de la sclérose en plaques ainsi que d’autres maladies liées au système nerveux. Mais alors, sous quelle forme cette drogue sera t-elle prescrite ?
Selon le média Le Monde, les patients ne pourront pas fumer « des joints sur ordonnance ». En réalité, les médecins prescriront cette drogue avec des produits inhalés tels qu’en huile de fleur séchées ou alors des produits ingérés comme des gouttes ou des solutions buvables. D’ailleurs, tous les médecins ne pourront pas prescrire du cannabis. En effet, les patients devront faire appel à des spécialistes se trouvant dans des centres anti-douleur. D’ailleurs, les médecins qui voudront prescrire cette drogue sous expérimentation devront suivre une formation.