Trois exoplanètes ont été découvertes récemment. Une avancée majeure dans la science car selon les chercheurs, elle pourrait contenir de la vie.
On entend de manière fréquente parler des exoplanètes. Ces types de planètes sont appelées différemment des autres pour leur rapprochement similaires en taille et en composition, à celle de la Terre et des planètes telluriques. Taille quasi identique, distance avec la source de chaleur, composition rocheuse… l’objectif des exoplanètes est simplement de trouver une autre zone habitable en dehors de notre système solaire, voir même de la vie. Cette fois-ci, ce sont trois de ces exoplanètes qui ont été découvertes et seraient, « potentiellement habitables » autour d’une étoile de petite taille. Cette découverte publiée dans la revue Nature a été faite par une équipe internationale de chercheurs, menée par Michaël Gillon de l’université belge de Liège.
Un moyen pour trouver encore plus d’exoplanètes
« Notre découverte ouvre un nouveau terrain de chasse », explique le chercheur qui ajoute qu’ « à l’échelle de la Galaxie, cela représente des milliards d’endroits en plus où la vie aurait pu se développer! ». Situés à seulement 39 années lumières de la Terre, ces trois corps célestes sont considérés comme proche de la planète Terre, ce qui va permettre une étude atmosphérique de leur surface. Cette découverte permet aussi d’étendre le domaine de recherche qui se concentrait habituellement sur les grosses étoiles et non sur celle de la taille de TRAPPIST-1.
Les informations nécessaires dans 5 à 10 ans
Selon les premières analyses des scientifiques, deux des trois planètes découvertes orbitent à proximité de l’étoile. Seulement la troisième des exoplanètes serait dans la zone habitable, ce qui veut dire qu’elle pourrait contenir de l’eau liquide, premier vecteur de vie dans l’espace. Malgré tout, il faudra être patient pour déterminer si une des ces trois planètes contient effectivement une forme de vie extra-terrestre. En effet, les informations pourrait mettre entre 5 et 10 ans à arriver, même si cela est très rapide pour les chercheurs.
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