Ses amis lui font une blague vraiment pourrie, en l'attachant à une tente derrière une voiture. Mais la blague a mal tournée et la paralysie est annoncée.
Quand on vous dit que le camping c’est dangereux ! Mais le plus dangereux, c’est de bien choisir ses amis. Ce qui n’a visiblement pas été le cas pour ce jeune homme. En effet, la blague que ses amis lui ont préparé lors d’une sortie a mal tournée. C’est le moins qu’on puisse dire. La malheureuse victime de 19 ans risque désormais la paralysie à vie. En espérant qu’il s’en sorte sans trop de soucis.
Une paralysie à vie pour une très mauvaise blague
L’histoire de passe il y a deux semaines. La fête votive de Saint-Sauveur-de-Camprieu, au Mont Aigoual, bat son plein et se termine calmement. Ou pas. Trois camarades décident, pour rire, d’attacher la tente de leur quatrième amis à leur voiture, pour le promener à l’intérieur. L’intéressé n’était au courant de ce qu’il se passait à l’extérieur de la tente, puisqu’il dormait. Et c’est là que le drame commence.
L’un des trois amis décide de prendre le volant de la voiture. Sur un terrain vague, ils se sont amusés à faire des tours, promenant leur camarade à l’arrière. Sauf qu’un détail n’était pas prévu. Le conducteur a commencé à perdre le contrôle de la voiture. Celle-ci se dirige vers un arbre, que le conducteur évite de justesse. Sauf que la tente, elle, fut projeter contre l’arbre, avec un énorme impact à celui à l’intérieur.
De la prison pour les amis de la mauvaise blague
Évidement, s’ils connaissaient l’issue de la mauvaise blague, nul doute qu’ils ne l’aurait pas faite. La victime a été envoyé d’urgence à l’hôpital Carémeau de Nîmes. Sa situation est suffisamment préoccupante pour qu’une tétraplégie à vie soit envisagée.
Une enquête a été ouverte dans le même temps par les gendarmes de Vignan. Ceux-ci enquête pour violences involontaire ayant entrainé une incapacité définitive. En cas de plainte de la victime ou de responsabilité avéré des amis, ils risquent de faire de la prison. Quand on vous dit que les blagues, ça tourne mal…