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Présidentielle 2017: les cinq moments les plus commentés du débat

Présidentielle 2017: les cinq moments les plus commentés du débat

Twitter Politique, c’est un compte Twitter qui réalise des analyses de l’activité sur Twitter pendant les événements politiques … tel que les débats.

Le débat de mardi soir a réuni plus de 6 millions de téléspectateurs sur BFMTV et CNews. Dans le même temps, les réseaux sociaux ont été très actifs. Grâce à Twitter Politique, on peut même décrypter l’activité des internautes.

Les grands moments du débat selon Twitter

En effet, sur son compte Twitter, Twitter Politique recense l’activité sur Twitter pendant le débat de la présidentielle de mardi 4 avril. Et notamment, les cinq moments qui ont été les plus commentés sur Twitter pendant le débat.

Le premier, bien évidemment, et qui a même fait réagir le public présent sur le plateau … le fameux « on n’a pas d’immunité ouvrière » de Philippe Poutou. Philippe Poutou visiblement très en forme mardi soir a décidé de jouer dans la même cour que les autres. Il s’attaque donc aux affaires qui touchent ses concurrents, en l’occurrence Marine Le Pen.

Très commentée, cette phrase a même été applaudie sur le plateau par les personnes du public.

Mais avant même cette punchline très bien sentie, Philippe Poutou s’était lancé dans une longue diatribe. Accusant tour à tour François Fillon et Marine Le Pen, le ton monte. Et visiblement, que Philippe Poutou ose dire à ces deux-là ce qu’il pense a donc beaucoup plus aux internautes.

David face à Goliath

La méthode Poutou a été reprise par les autres petits candidats au cours de la soirée. La stratégie de Nicolas Dupont-Aignan l’a même mené à entrer en joute verbale avec Emmanuel Macron et le mettre face à son passé de banquier d’affaire.

Autre très grand moment de cette soirée présidentielle. Marine Le Pen s’en prend à Ruth Elkrief et Laurence Ferrari qu’elle accuse de favoriser Emmanuel Macron. En effet, alors que le candidat d’En Marche! répond à une interpellation de Nicolas Dupont-Aignan, il est interrompu par ce dernier.

Les deux journalistes s’emparent donc de la parole pour contraindre le candidat de Debout la France au silence. Ce à quoi Marine Le Pen réplique : « laissez-les débattre, ce sont deux grands garçons. Ca commence à être voyant, faites attention. »

Et parfois, Asselineau parle

Enfin, il ne s’agit pas d’un clash cette fois-ci mais d’une simple phrase qui a bouleversé les esprits visiblement. François Asselineau engage sa femme à ne pas être une Première Dame comme en a connu la Ve République. En effet, il s’oppose à un système « à l’américaine ». Et cette annonce a été très commentée lors du débat.

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