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Il force son fils de 6 ans à violer ses soeurs de 4 ans et 10 ans

Il force son fils de 6 ans à violer ses soeurs de 4 ans et 10 ans

Aujourd'hui est jugé à Namur un père de 52 ans accusé d'avoir commis les pires atrocités sur ses jeunes enfants. Il aurait notamment forcé son fils de 6 ans à violer ses soeurs

La justice vient tout juste de lever le voile sur des crimes sordides perpétrés par un père de 52 ans. Etienne K, dont le procès a débuté cette semaine, est accusé d’avoir violé ses trois enfants, tous âgés de moins de 10 ans, dans des conditions d’une rare violence et d’une cruauté indescriptible. L’arrestation remonte à 2009 mais la justice belge a tenus les faits secrets jusqu’à l’ouverture du procès.

Il attache ses filles, les viole, et force son fils à faire de même

En 2009, la mère des trois enfants, séparée du père depuis quatre ans, s’est rendue à la police pour rapporter le comportement de son ex-mari. Ses enfants avaient fini par parler après avoir longtemps gardé le secret pendant plusieurs années. Leur père les aurait violés et aurait forcé son fils à faire de même sur ses deux sœurs entre 2005 et 2009.

L’accusé a attaché deux de ses filles (10 et 4 ans) sur son lit avec des ceintures de peignoirs, des menottes, avant de les violer. Et il le fait avec des vibromasseurs également. Le plus jeune de ses fils (6 ans) est obligé d’assister aux scènes et, parfois, de violer la plus petite Frederic Lykops, le représentant du parquet général de Namur. Il a en outre rapporté que ces viols auraient été commis avec de nombreuses violences.

Lors de son arrestation, il commence par nier les faits

En 2009, Etienne K avait nié les faits, et avait dit qu’il ne se souvenait de rien. Il a n’avoir abusé qu’une fois de l’une de ses filles. Selon lui, il avait déclaré « n’importe quoi » lors de son interrogatoire, en raison de la pression exercée par les enquêteurs.

Les enfants n’ont plus qu’une aile pour voler. Tâchons de ne pas leur couper la deuxième par la médiatisation de ce procès ! a déclaré la partie civile désemparée face à tant d’horreur.

Photo DR

Source : La Meuse

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