Le corps d'une jeune étudiante a été découvert dans une résidence étudiante de la ville de Nîmes. Selon la police, le corps de la jeune femme a été brisé.
Tout a commencé par les témoignages de voisins soucieux d’entendre des bruits de bagarre et de fracas de meubles. Après avoir donné l’alerte dans la nuit de samedi à dimanche, la police a fait une découverte macabre. Vers 4h30 du matin, dans la résidence étudiante rue Saint-Rémy à Nîmes (Gard), les forces de l’ordre découvrent le corps brisé d’une jeune femme âgée de 20 ans.
L’appartement était verrouillé depuis l’intérieur ce qui laisse à penser que l’agresseur de la jeune femme serait parti avec les clés. C’est à la suite de l’enquête qu’un proche de la jeune fille est interpellé dans les rues de Nîmes. Il a aussitôt était placé en garde à vue par la police selon Le Parisien. Une garde à vue qui dure puisque dimanche soir, l’homme était encore entre les murs de la police judiciaire.
Une nuit de violence qui a alerté les voisins
Lors de l’arrivée des pompiers sur les lieux du drame, ils ont vite compris que la jeune femme avait succombé sous des coups. Le parquet de Nîmes a rapidement communiqué sur l’affaire expliquant que la jeune étudiante « avait subi des violences très importantes et était morte des suites de ces violences ». C’est le site d’informations locales, Objectifgard.com, que l’incident se serait déroulé en début de soirée samedi soir. Cet après-midi, une autopsie de la jeune femme devrait être effectuée pour comprendre quelles blessures lui ont été infligées.
Les premiers témoignages semblent confirmer une nuit de violence. En effet, les bruits sourds de bagarre auraient duré toute la nuit. C’est d’ailleurs cela qui a poussé les voisins à donner l’alerte auprès des autorités. Au moment de l’intervention des secours, la victime gisait dans un désordre notoire qui laisse supposer une violente dispute.
La victime est une jeune étudiante en droit à l’université de Nîmes
La jeune victime était une étudiante en droit à l’université de Nîmes. Orginaire de Montélimar, le mobile de cet meurtre pourrait être une relation sentimentale mouvementée. Malgré tout, le parquet de la ville semble vouloir attendre les résultats médico-légaux pour confirmer cette hypothèse.