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Montrouge : tombé du 6ème étage, cet enfant est un miraculé

Montrouge : tombé du 6ème étage, cet enfant est un miraculé

Un enfant de onze ans qui s'amusait depuis la fenêtre de son appartement à Montrouge est tombé du sixième étage. il s'en sort avec une simple fracture ! C'et un véritable miraculé.

Miraculé. C’est le terme adéquat pour parler de ce petit garçon de onze ans. Mardi, en fin d’après-midi, l’enfant a fait une chute spectaculaire depuis le sixième étage de son appartement de Montrouge, dans les Hauts-de-Seine. Il s’amusait à sauter entre la fenêtre et un toit plat tout proche, raconte Le Parisien.

Après un saut réussi, le deuxième s’avère fatal…

Au 46, avenue Verdier, à Montrouge, les voisins sont encore sous le choc. Mardi 25 août, un enfant de onze ans a frôlé de très près la mort. D’après des sources policières, en fin d’après-midi, il s’amusait à passer de la fenêtre de son appartement du sixième étage de l’immeuble jusqu’à un toit plat tout proche. Après un saut réussi, le petit bonhomme réitère l’expérience, à tort. Il chute du sixième étage et atterrit dans le jardin de l’immeuble voisin. Il heurte une barrière et tombe dans la terre meuble qui couvre le sol, rapporte Le Parisien. Transporté à l’hôpital Necker, à Paris, par les pompiers, le garçon est resté conscient après sa chute et n’a eu pour seule blessure qu’une fracture au tibia.

…mais il ne s’en sort qu’avec une fracture au tibia !

Marie, une voisine, a témoigné de la panique qu’elle a ressenti lors de l’accident: « C’était l’horreur, j’en ai fait des cauchemars. On se connaît tous dans l’immeuble, on a tous des enfants, on a pensé au pire ». Au première loge, c’est elle qui a reçu le coup de fil d’un habitant d’une résidence voisine qui l’informait de ce qui se tramait au sixième étage.«  Vous ne me connaissez pas, je suis dans l’immeuble d’en face. Il y a un enfant qui se balade sur le toit », prévient le voisin. Malgré ses tentatives pour prévenir les parents du bambin, personne ne répond. Elle demande alors à son interlocuteur d’appeler la police. « Je me suis mise à prier pour le petit bonhomme… J’ai trois enfants à la maison alors je sais ce que c’est ».

« Quand je suis arrivée, il était déjà par terre. J’ai indiqué aux policiers la personne qui était la grande sœur du petit. Quand j’ai appris qu’il était conscient, j’ai été rassurée » raconte une autre résidente au Parisien. Un happy end bienvenu pour se petit miraculé de la vie !

 

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