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Attentat de Paris: Salah Abdeslam pète un plomb à cause des caméras dans sa cellule !

Attentat de Paris Salah Abdeslam pète un plomb à cause des caméras dans sa cellule

En découvrant les sept caméras placées dans sa cellule, Salah Abdelslam est entré dans une colère noire

Depuis son transfert à la prison de Fleury-Mérogis, tous les dispositifs de sécurité ont été pris par le gouvernement français pour encadrer la détention de Salah Abdelslam. Pas moins de 7 caméras sont ainsi présentes dans la cellule de l’homme dans le but de lsurveiller le moindre de ses gestes… Des moyens pris loin de plaire au terroriste en question.

Salah Abdelslam surveillé 24H/24H

Incarcéré depuis un mois à la prison de Fleury-Mérogis depuis son transfert, Salah Abdeslam, seul membre connu encore en vie des commandos du 13 novembre, fait l’objet d’une surveillance toute particulière. En effet ce dernier est surveillé 24 heures sur 24 à l’aide de caméras de surveillance placées directement à l’intérieur de sa cellule. Un dispositif déjà largement contesté sur sa légalité et qui est loin de plaire au principal concerné. En effet, selon une source judiciare du Parisien, Salah Abdelslam aurait poussé une vive colère au moment de la découverte des sept caméras de surveillance se trouvant dans sa cellule : « en voyant les caméras de surveillance, il est entré dans une colère noire en disant qu’on violait son intimité ». « Les agents ont eu quelques sueur froides, » a précisé la source en question au quotidien le Parisien.

Une détention onéreuse

Quatre gardiens, sept caméras, deux cellules… les chiffres de la détention de Salah Abdeslam ont déjà fait l’objet de nombreuses polémiques. Le détenu le plus surveillé de France se trouve également être celui qui coûte le plus cher. En effet, pour exemple, la somme de 13 000 euros a été déboursée par le gouvernement afin de  financer les sept caméras présentes dans sa cellule. En outre, quatre gardiens au minimum sont nécessaires pour visionner ses images. Ils sont ainsi deux la nuit, deux le jour, à scruter chaque faits et gestes du détenus afin de prévenir tous risques de suicides.

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