La pornographie, outil de fantasme de beaucoup de couples. Elle peut aussi dévoiler les complexes des uns et des autres, mais attention, la télé ne reflète pourtant pas la réalité
60%. C’est le pourcentage de français ayant déjà regardé un film pornographique selon le dernier sondage de l’Ifop. Demandée par le site pour adultes Tukif.com, la rapport a été a publié jeudi 24 avril et on y découvre quelques pépites sur le comportement des français quand ils sont au lit. Pour une fois, la gente féminine n’est pas complexée par ses hanches, son nez, sa poitrine ou ses cheveux. On ne peut pas en dire autant de son opposé… oui messieurs, cette fois c’est vous qui êtes complexés… par la taille de vos bijoux de famille. La jeune génération serait d’ailleurs plus touchée par ce complexe, puisque selon l’étude, 32% des hommes de moins de 25 ans seraient déçus de la taille de leur pénis quand ils visionnent un film pornographique. Le site FranceTv info donne quelques indications à cette tendance en citant l’analyse Si les Français maintiennent une certaine distance entre la réalité et la plastique ‘hors norme’ présentée dans les films, la vue d’organes masculins surdimensionnés peut s’avérer anxiogène dans les catégories les plus jeunes de la gent masculine,
La pornographie, au coeur de la sexualité des français
Si 61% des hommes de moins de 25 ans estiment que la taille de leur engin est un point majeur dans la jouissance de leur compagne, 63% des femmes ne confirment pas cette idée. Ces dernières sont plus sensibles à leur propre pilosité. 45% des moins de 25 ans sont adeptes de l’épilation intégrale, contre la moyenne de 14% en tout âge confondu… Une fois de plus, cette pratique qui plait à 63% des jeunes hommes a une explication. Le sexe glabre vu dans les films X s’impose de plus en plus comme la norme du corps féminin désirable aux yeux des hommes parmi les jeunes générations, où la consommation de porno est la plus forte
Une chose est sûre, si les français sont épanouis dans leur vie intime, ils ne sont pas prêts à la dévoiler sur le net. Si 11% de la population avoue avoir déjà photographié ou filmé ses ébats, seuls 3% les ont diffusés sur le net. Si la proportion des personnes interrogées qui cherchent à pimenter leur vie de couple en filmant leurs ébats reste limitée, elle a presque doublé en l’espace de cinq ans (11% contre 6% en 2009). La pornographie reste malgré tout une source de fantasme pour son public, selon l’Ifop.
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