Le chanteur du groupe Suarez et membre du jury de The Voice belge, Marc Pinilla, répond à toutes nos questions à l'occasion de son passage à Paris !
Leur album « Ni rancœur, ni colère », sa collaboration avec Alice on the Roof, son expérience de coach de The Voice Belgique… Marc Pinilla répond à toutes nos questions !
Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Je suis le chanteur du groupe Suarez, un groupe métissé où il y a quatre musiciens malgaches et moi qui suis le chanteur, qui suis belge. Et on fait de la pop chantée en français.
Peux-tu nous en dire plus sur votre album « Ni rancœur, ni colère » !
C’est un album essentiellement de chansons. Auparavant on faisait plutôt de la musique avant de faire de la chanson. On était très orientés sonorités malgaches, on était « métissage ». Ici on a voulu faire vraiment de la chanson. Chanson qui parle essentiellement d’amour ; avec notre esthétique bien sûr !
Comment s’est passée ta collaboration avec Alice on the Roof ?
Je suis le producteur d’Alice on the Roof depuis maintenant deux ans. Je l’ai rencontré sur le plateau de The Voice par hasard. Enfin, pas par hasard, parce qu’elle était talentueuse et parce que je la trouvais très charmante. Ce qui fait que je lui ai proposé d’écrire des chansons pour elle et puis j’ai passé le cap et j’ai monté sa maison de disque, et j’ai produit son album aussi. Alice c’est un petit bout de femme avec qui on a fait un bout de chemin et qui a un peu changé ma vie. Qu’elle intervienne dans ce disque ça me tenait vraiment à coeur et elle l’a fait avec grand plaisir. L’idée du duo et de la reprise de Niagara était vraiment quelque chose qui me tenait vraiment à coeur. Rien que le fait d’avoir un bout d’âme d’Alice dans le disque ça me ravit !
Tu es coach de The Voice version belge. Un retour sur cette expérience ?
J’ai fait deux saisons il y a trois ans, puis j’ai arrêté il y a deux ans. Là je reprends pour une troisième saison pour The Voice. Je fais The Voice parce que c’est un endroit de rencontre. Aussi improbable que ça puisse être, c’est finalement là que j’ai rencontré Alice et des endroits comme ça où défile 150 potentielles stars ou potentiels futurs artistes c’est très peu courant. Finalement le fait de participer à ça et d’être témoin de la genèse d’un artiste c’est vraiment une super expérience. Et voilà j’adore être là, j’adore être témoin. Et puis j’ai envie de provoquer le destin finalement et rien que le fait d’être là pourrait éventuellement me faire rencontrer la prochaine Alice de demain ou le prochain James Morrison de demain, quoi !
Un rituel avant de monter sur scène ?
Non, pas du tout. J’ai aucun rituel avant de monter sur scène, aussi bizarre que ça puisse être. Oui je m’isole peut-être un peu. J’aime le calme avant la tempête, j’aime un moment de silence.
Quels sont tes futurs projets ?
Ce sont mes projets présents : cette sortie d’album, essayer de faire un deuxième disque pour Alice, chose qu’on a commencé à faire, et puis déjà si j’arrive à faire ça et à le faire bien, c’est déjà une réussite !
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