Dans FIFA 17 comme dans la réalité, Neymar fait partie des meilleurs joueurs du monde. Retour sur ses plus beaux buts virtuels, entre crochet et sombrero.
Si FIFA 17 est une simulation de football, certains gestes n’en demeurent pas moins complètement improbables. Avec sa technique, sa vitesse et sa finition, Neymar est un des meilleurs joueurs du jeu. En effet, lancé à toute vitesse, il sera difficile de l’arrêter sans commettre de faute. Annoncé par beaucoup de médias au PSG, l’ailier du Barcelone pourrait faire le bonheur de plus d’un. Retour sur ses plus beaux buts virtuels.
1. Neymar claque le sombrero dans FIFA 17
On commence en beauté avec un geste que le Brésilien affectionne particulièrement. Afin de se débarrasser de son opposant, Ney l’efface d’un sombrero. Mais le spectacle ne s’arrête pas là, puisqu’il conclut d’une magnifique reprise de volée qui finit dans les buts. Le tout, de son mauvais pied, et de l’extérieur de la surface.
2. Angle fermé, lucarne opposée
Les gardiens le savent, plus l’attaquant est excentré, plus il lui sera difficile de marquer. C’est en effet ce qu’on appelle un angle fermé, qui permet au gardien de couvrir le faible protégeant ses cages. Mais pas de problème pour le N°11 du Barça, qui trouve quand même le moyen de marquer.
3. Boulet de canon à l’extérieur de la surface
Dans FIFA 17, les frappes de loin font souvent mouche. Comme dans la réalité, le gardien est rarement prêt à recevoir un boulet de canon. Bien qu’elle soit de base impressionnantes, les exécuter du mauvais pied rend le but encore plus incroyable. Et ce n’est pas Neymar qui dira le contraire, en témoigne ce but.
4. Coup du foulard dans la surface
Le coup du foulard est un geste technique qui nécessite une précision d’orfèvre. Ainsi, pas de problème pour l’attaquant brésilien et ses cinq étoiles en Gestes Techniques. D’habitude utilisé pour centrer, les buts sur coups du foulard sont d’une rareté sans pareille.
5. Sombrero, crochet, but
Et enfin, un show à la Neymar, comme il l’aime. L’ailier commence par un petit sombrero, puis met dans le vent son opposant à l’aide d’un crochet. Pour couronner le tout, on finit par une frappe, toujours du mauvais pied. C’est à se demander s’il n’est pas gaucher, finalement.