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Bac 2017: une future réforme de l’examen pour le rendre plus dur

Bac 2017: une future réforme de l'examen pour le rendre plus dur

Le Bac 2017 approche, tout comme une future réforme de l'examen. Le nouveau ministre de l'Education nationale veut le rendre plus dur.

Il est au coeur de tous les débats à quelques heures de son commencement. Le Bac 2017 est sur le point de se lancer et déjà le nouveau gouvernement s’attaque à une idée de réforme. Pas de pressions pour les bacheliers, le Bac 2017 ne changera pas de forme. mais nous serions moins catégorique sur la tenue des années suivantes tel que nous le connaissons.

Vers une formule du bac plus musclée

En effet, Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Education nationale, a été interrogé sur RMC. Selon le ministre, la feuille de route tracée par Emmanuel Macron pour la réforme du baccalauréat va entraîner des modifications. La première idée serait de diminuer le nombre d’épreuves à l’examen. Comme ce fut le cas pour le brevet des collèges. Dans cet examen, seules les matières Français, Mathématiques et Histoire Géographie sont représentées.

Les autres matières ne seraient évidemment pas oubliées. Celle-ci passeraient en contrôle continu. C’est à dire sur la totalité de l’année scolaire de la terminale. Mais sous la pression et l’occupation que doit lui prendre le Bac 2017, le ministre répond avec des pincettes. « Je suis favorable à un bac musclé mais il est trop tôt pour se prononcer, je ne suis en poste que depuis trois jours », explique Jean-Michel Blanquer.

Avant le Bac 2017, une réforme sur l’école primaire

Mais avant de s’attaquer à cette nouvelle année de Bac 2017, le ministre explique avant tout la première réforme qu’il souhaite mettre en place. A savoir, sa volonté de réformer l’école primaire. Notamment en divisant par deux les effectifs des classes de ZEP de CE1 à douze élèves. Soit des effectifs divisés par deux. « 2 200 classes de REP verront leur nombre d’élèves divisé par deux dès la prochaine rentrée », a-t-il déclaré. Et cela dès la rentrée 2017.

Selon le ministre, l’école primaire est la priorité absolue. « Notre objectif est que les élèves sortent de l’école primaire en ayant les compétences fondamentales. Il faut sortir de l’école primaire en ayant appris à lire, écrire, compter et le respect d’autrui », déclare-t-il sur RMC.

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