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Universités du Maghreb : accord sur un référentiel de qualité

Une vingtaine de partenaires maghrébins et européens sont parvenus à la réalisation d’un référentiel de qualité pour l’enseignement supérieur, commun à dix universités des trois grands pays du Maghreb

Le projet Aqi-Umed fait partie des mesures structurelles du programme Tempus financé majoritairement par la Commission Européenne ; il soutient la modernisation de l’enseignement supérieur et crée un espace de coopération dans les pays entourant l’Union Européenne.
Les mesures du programme Tempus visent l’amélioration de la qualité et de la pertinence de l’enseignement dispensé par les établissements d’enseignement supérieur des pays partenaires, ainsi que l’accroissement de leur convergence au sein de l’Union Européenne.

Le projet Aqi-Umed, a pour objectif principal de contribuer au développement des pratiques d’assurance qualité dans les universités des pays partenaires, en travaillant prioritairement sur l’évaluation interne des différentes missions de l’Université (formation, recherche, gouvernance, service à la collectivité et développement socio-économique). Il s’agit d’améliorer la gouvernance de ces établissements, tout en favorisant une harmonisation avec l’évolution internationale des systèmes d’enseignement supérieur.

Ce projet ambitionne également un renforcement des échanges entre universités du Nord et du Sud de la Méditerranée, ainsi qu’entre les universités des trois pays maghrébins partenaires.

La stratégie, les objectifs, la mise en œuvre et les résultats ont été présentés lors d’une conférence finale les 24 et 25 janvier 2013 à Bruxelles dans les murs de Wallonie-Bruxelles International (WBI), en présence de tous les partenaires du projet, du Recteur de l’AUF, Bernard Cerquiglini, du directeur du Bureau Europe de l’Ouest – Pôle de développement de l’AUF, Claude Condé, et de la directrice du Bureau Maghreb de l’AUF, Cristina Robalo-Cordeiro.

La construction d’un référentiel d’auto évaluation institutionnelle a permis aux établissements universitaires maghrébins de s’impliquer concrètement dans ce projeten s’exerçant à la production du rapport d’auto évaluation de leur université.

Communiqué

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