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The game of love: Laurence et Thomas parlent de leur métier de strip-teaseur !

The game of love: Laurence et Thomas parlent de leur métier de strip-teaseur !

Laurence et Thomas, couple qui participe à The game of love, ont été interrogés par Télé-Loisirs. Ils ont parlé de leur métier de strip-teaseur

Laurence et Thomas forment un couple atypique. En effet, les deux candidats de The game of love sont strip-teaseur dans la vie de tous les jours. Et leur métier leur apporte un avantage conséquent dans le programme. Car la jalousie ne fait pas partie de leur relation. De plus, il ne faut pas être jaloux quand on exerce ce métier. Voir sa girlfriend ou boyfriend se faire « tripoter » par des inconnus n’est pas vraiment agréable à regarder. Mais grâce à leur expérience, Laurence et Thomas savent qu’ils peuvent se faire confiance. Ils possèdent donc un atout pour le jeu.

The game of love : un métier comme un autre

Non, le fait d’être strip-teaseur n’engendre pas plus de tentations que cela. Thomas a assuré que non au micro de Télé-Loisirs : « Il n’y a pas plus de tentation que dans un métier ‘classique’. Quand vous êtes au bureau et que vous voyez tous les jours votre secrétaire, vous avez le temps de créer des liens avec elle. »

Pour sa girlfriend de The game of love, Laurence, c’est la même : « Nous sommes professionnels avant tout, c’est un métier, non un loisir. Et quand on est en couple, on sait se tenir. Après, ça ne me gêne pas qu’on mette des billets dans les sous-vêtements de mon mec, puisque je les récupère après [Rires.]. »

The game of love : un atout sur les autres

Et ce métier leur donne un atout considérable dans The game of love. En effet, Laurence a déclaré : « Le fait d’être libérée et sûre de moi a été un atout considérable dans le jeu. On était plus désinhibés que les autres. Si on vient me complimenter sur mon corps, ce n’est pas grave, j’ai l’habitude d’être touchée tous les week-ends. Dans The Game of love, la jalousie est un luxe qu’on ne peut pas se permettre. »

Avant que son compagnon n’ajoute : « La crainte d’être ‘révélés’ prime sur la jalousie. Nous avons dû faire très attention aux regards, aux gestes et aux surnoms qu’on pouvait se donner. »

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