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Ninja Warrior 2: Thomas Ballet évoque son parcours en finale du programme !

Ninja Warrior 2: Thomas Ballet évoque son parcours en finale du programme !

Thomas Ballet est arrivé au bout du parcours de Ninja Warrior 2, en dépassant le temps de 7 secondes. Il est revenu sur ce moment au micro de Télé-Loisirs

Thomas Ballet, comme Sébastien de Koh-Lanta, est un mordu d’escalade. Tout comme son homologue, il avait donc quelques facilités pour aborder le parcours de Ninja Warrior 2. Il est d’ailleurs arrivé jusqu’au bout du parcours, mais en dépassant le temps de référence de 7 secondes. Au micro de Télé-Loisirs, il est revenu sur ce moment à la fois glorieux et décevant.

Ninja Warrior 2 : Thomas Ballet pensait à l’argent

Toujours dans la même interview, Thomas Ballet a avoué que pour la première fois dans Ninja Warrior 2, il avait pensé à l’argent. En effet, en se levant le matin, il a songé à ce qu’il pouvait faire avec l’argent s’il remportait la cagnotte :

« Je suis fatigué mais euphorique et pour la première fois je pense au 100 000 euros. Le matin même je m’étais réveillé obnubilé par la corde, je devais penser inconsciemment que mon corps était capable d’aller au bout du parcours. »

Ninja Warrior 2 : Thomas Ballet a douté

A 7 secondes près, Thomas Ballet aurait donc pu remporter Ninja Warrior 2. Et le pire dans cette histoire, c’est que le mordu d’escalade sait pourquoi il n’a pas pu rentrer dans les temps. La cause ? Le fait qu’il ait douté. Il a indiqué à Télé-Loisirs : « Le parcours est un révélateur, il m’a révélé ce que je savais déjà. Les obstacles ne laissent aucune place au doute, à l’erreur, ils vous renvoient une image de qui vous êtes, du moins à l’instant T et au fond de vous… Je sais que j’ai un potentiel physique et mental énorme mais j’ai aussi une grande faiblesse, je doute beaucoup et je ne vais pas au bout des choses, sinon j’aurais été champion du monde. J’ai des qualités physiques, énergétiques rares. Du moins c’est ce que l’on m’a toujours dit. »

Avant de conclure : « En synthèse, j’ai douté pendant l’ascension de la corde. Au 3/4 je me suis dit : « ne ralentis pas ». NE PAS, la négation qui entraîne inconsciemment son corps vers une diminution. J’ai commencé à ralentir. Parce que j’ai douté, parce que j’ai eu peur de réussir et cela me met vraiment en colère. Mais on apprend vraiment de soi quand on est confronté à la difficulté. »

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