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Drogue: il appelle la police parce que son père a brûlé ses plants de cannabis !

Drogue: il appelle la police parce que son père a brûlé ses plants de cannabis !

Suite à une dispute, un jeune australien fou de rage a appelé la police parce que son père a brûlé ses plants de cannabis

En Australie, un père de famille s’est aperçu que son fils avait fait pousser des plants de cannabis. Suite a une dispute, il a arraché les plants et a décidé de les brûler, ce qui bien évidemment n’a pas plus à son fiston. Fou de rage, ce dernier a appelé la police en pensant que détruire des plants de cannabis était plus grave que d’en faire pousser. Il faut croire que ce n’est pas évident pour tout le monde!

Son père brûle ses plants de cannabis

Les faits se sont déroulés à Humpty Doo, à une quarantaine de kilomètres de Darwin, en Australie. Tout a commencé avec une énorme dispute familiale entre un jeune homme et son père. Pour punir son fils, ce dernier a décidé de détruire la petite culture clandestine de cannabis de sa progéniture.

Comme le rapporte Louise Jorgensen, la commissaire de police, après avoir arraché les plants l’homme a tout fait flamber dans un « grand feu de joie ». Fou de rage, le jeune australien s’est empressé d’appeler la police pour se plaindre de son père qui venait saccager ses petites plantes.

Posséder du cannabis est moins grave que de le détruire

Visiblement, le jeune homme ne semble pas faire la distinction entre le bien et le mal puisque selon lui, détruire des plants de cannabis est plus grave que de les faire pousser. « Le fils a estimé que ce n’était pas juste et a signalé l’incident. Des policiers se sont rendus sur place et ont constaté les faits, » explique Louise Jorgensen. « On lui a demandé s’il était au courant que posséder du cannabis était illégal et qu’il pourrait être poursuivi pour cela. Il avait l’air de penser que le fait d’avoir détruit ses plants était bien plus grave que le fait d’en posséder,» poursuit-elle.

La commissaire a ensuite confié qu’aucune charge n’a été retenue contre le cultivateur, ni contre son père.

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